mardi 21 juin 2016

News : La bête d'Alaska - Lincoln Child (Ombres Noires)

Chronique ICI

La Bête d'Alaska (Terminal Freeze) de Lincoln Child est annoncé pour le 22 juin 2016. Il s'agit du second tome de la série de roman consacré au Docteur Jeremy Logan, opus qui était encore inédit à ce jour. Il s'intercale entre Deep Storm et La troisième porte.
C'est le second roman de l'auteur publié par les éditions Ombres Noires après Projet Sin.
Il est traduit par Fabienne Gondrand.

Présentation de l'éditeur :

La réserve naturelle fédérale d'Alaska est une terre particulièrement dangereuse et inhospitalière. Pour le paléoécologiste Evan Marshall, l'expédition qu'il dirige pour étudier les effets du réchauffement climatique est majeure pour la science. Installés dans une ancienne base militaire sur le Mont de la Peur, son équipe fait une étonnante découverte : un gigantesque animal préhistorique conservé dans la lave et la glace. 
Malgré la défiance des Inuits qui craignent depuis toujours les esprits de la montagne et en dépit des réserves de Marshall, les sponsors de l'expédition décident de sortir la bête de sa sépulture devant les caméras de télévision. Mais la créature a disparu... 

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

Les Indispensables : Julius Winsome - Gerard Donovan (Seuil)






De temps en temps, je referai remonter à la surface d'anciennes chroniques de livres que je considère comme des indispensables, des romans cultes, des coups de cœur qui auront marqué mon imaginaire d'une manière unique et indélébile. Voici ce que j'en disais en octobre 2009.

« Si je devais en une phrase résumer ma vie jusque-là, je dirais qu’à un certain moment j’ai vécu dans un chalet durant cinquante et un ans. »

L’histoire de Julius Winsome, c’est surtout l’histoire d’un lecteur. Un solitaire qui s’isole dans un coin de nature pour vivre sa vie comme on tourne les pages d’un livre : pages après pages, jours après jours. Une bûche au feu, de l’eau bien chaude pour le thé et le voici qui se plonge dans la lecture d’un des livres de la bibliothèque de son père. Il hume le parfum du papier, l’encre qui a servi pour élaborer les fiches des livres, les sens en éveille.

Julius ne vit pas seul dans ce coin de nature : c’est la nature qui le berce et qui peuple ses journées de mile bruits, saveurs et images. Il ne fait qu’un avec la terre qui l’entoure.

Il ne faut pas tenter de voir dans cette volonté de vivre seul un choix cachant une amertume particulière contre le genre humain. C’est juste une manière de se préserver. Julius dit que son père lui a appris à être fidèle. Alors quand il hérite du chalet à la mort de celui-ci, il applique le précepte paternel. Fidèle à cette terre, il sera.

Julius se contente d’un univers peuplé de fleurs colorées qu’il cultive, d’oiseaux qu’il abreuve et nourri, de livres qu’il chérie et de son chien. Il bricole de ci de là, pour gagner de quoi subsister l’hiver venu. C’est le bonheur vu de l’intérieur. Ce n’est pas un hymne à la solitude, c’est juste qu’il vit comme ça et qu’il le fait bien, sans gêner qui que ce soit. La preuve, quand l’amour pointe son nez, il l’accueille et quand il s’en va, il le laisse partir sans rancœur. Un peu comme quand l’hiver pointe son nez emportant avec lui les vestiges des trois saisons qui ont précédé.

« L’empreinte du Nord disparaît dès que le soleil brille à nouveau, effacée des collines et des arbres du Maine par le chiffon du soleil et par le souffle chaud de l’automne sur le bois. »

Il vie donc de ce qui l’entoure, il est un humain en harmonie avec son environnement, à l’écoute de cette nature qui l’accueille en son sein. Il nourrie ses cinq sens, il philosophe, il se souvient, il entretien sa culture comme il entretient son feu, il est au diapason avec son monde, sans violence, sans heurt.

Et le coup de feu annonciateur de ce premier meurtre est la fausse note qui va perturber la partition de Julius. Son chien a été mortellement atteint d’une balle à bout portant. Assimilant ce qui vient de se passer, Julius ne va pas sombrer dans une rage destructrice. Il va rester le même, sans s’embraser, en continuant à raisonner comme il l’a toujours fait, avec calme et parcimonie. Pour rétablir ce déséquilibre, il va chasser le responsable de cet acte, même si pour cela, il doit éliminer quelques innocents… Il va tuer en étant pleinement conscient de ses actes, froid, comme son environnement, sans passion, sans folie incontrôlée.

C’est intéressant de faire le parallèle entre ce qui arrive à Julius et l’arrivée de l’hiver. Tel la morsure du froid qui va planter ses dents dans la chair des êtres qui oseront s’aventurer dans la forêt sans y être préparer, Julius va incarner ce froid implacable qui va mettre un terme à la vie de ceux qui se croyaient bien « armés » pour l’affronter.

C’est bien sûr emprunt d’une certaine naïveté mais Julius est en accord avec lui-même. Il sait très bien que pour atteindre le coupable, il va devoir atteindre d’autres personnes. Des dommages collatéraux ? Peut être mais Julius ne le fait pas par sadisme ou par cruauté. Il le fait parce que c’est ce qui lui semble la chose à faire. C’est difficile de trouver une excuse à son geste mais c’est aussi facile de comprendre qu’il n’avait pas autre chose à faire, comme si c’était irrémédiable.

Du coup, on serait curieux de voir ce donnerait une évaluation psychiatrique du personnage. Comment les influences de son grand père, de son père et son isolement pourraient tenter d’expliquer son geste. Comment sa déception amoureuse pourrait servir de déclencheur et facilement expliquer les évènements en voulant trouver une justification rationnelle. L’amertume par exemple. Alors que nous savons qu’il n’en est rien. La mort du chien l’a juste rendu triste. Un point c’est tout.

« Lorsqu’un chien lève la tête et aboie tout en vous regardant un peu de biais, cela signifie qu’il est d’humeur joueuse et sait que vous le taquinez. […] Si vous ne comprenez pas son langage, tout ça n’est que du bruit. Ces types qui rodaient dans la forêt ne comprenaient pas mon langage shakespearien, me semble-t-il, même si c’était du pur anglais et que j’articulais avec soin. J’aurais pu tout aussi bien leur aboyer après. Avec le temps on devient tous des chiens. »
Parce que le roman n’est pas une apologie du meurtre. C’est une fable de la nature. Les actes de Julius sont en fait à l’image de cet extrait. Il y a ce que l’on va se contenter de voir et ce que l’on va chercher à comprendre. C’est un peu le nœud du problème : la compréhension de l’autre. Parce que tenter de comprendre l’autre, c’est tenter de mieux se comprendre soi même. C’est aussi notre quotidien de lecteur, non ?


Présentation de l'éditeur :

Julius Winsome, quinquagénaire, vit solitaire dans un chalet au cœur de la forêt du Maine. Fils et petit-fils d'anciens combattants qui lui ont transmis leur horreur de la violence, Julius ne chasse pas, contrairement aux hommes virils de la région. Il préfère chérir ce que son père aimant lui a légué : les milliers de livres qui tapissent son chalet et le Lee-Enfield, ce fusil rapporté par son grand-père anglais des tranchées de la Première Guerre mondiale. Son unique compagnon est son chien Hobbes. La mort de ce dernier, abattu par un chasseur, déclenche chez cet homme doux une fureur meurtrière. Les halles crépitent alors dans la forêt enneigée. Julius Winsome est l'histoire tendue et émouvante d'un " étranger" à la fois hypersensible et détaché, amoureux de la langue et misanthrope. Avatar du Meursault de Camus, qui tuait "à cause du soleil ", Julius Winsome tue à cause de la neige, symbole de pureté et de deuil.
Écrit dans un style puissant et poétique, ce récit d'amour, de vengeance et de mort est à l'image du paysage, âpre, froid, cinglant. C'est aussi un hymne à la nature et à ses créatures sauvages.

Traduction de Georges-Michel Sarotte.


Frédéric Fontè, www.4decouv.com

samedi 18 juin 2016

News : Lux - Maud Mayeras (Anne Carrière)

Chronique ICI
10 ans après son premier roman Hématome, et Reflex publié en 2013, Maud Mayeras revient en librairie le 06 octobre prochain avec Lux, publié aux éditions Anne Carrière.

Présentation de l'éditeur :

C’est l’histoire d’un retour, d’une sentence et d’une vague qui monte à l’horizon.

2016. Antoine Harelde débarque à Ceduna, dans les terres arides du sud de l’Australie.
Vingt ans auparavant, il a passé un été dans cette petite ville perdue et, en l’espace de trois mois qui l’ont vu quitter l’adolescence, il a connu la joie, l’amitié, l’amour et l’horreur. 

Aujourd’hui il est un homme. Il n’a pas oublié, il n’a rien pardonné. 

Mais la justice prend d’étranges et inquiétantes couleurs à la lumière de l’apocalypse.

Ballade meurtrière sur fond de fin des temps, Lux est le roman de la confirmation d’une jeune auteure au sommet de son art.

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

mercredi 15 juin 2016

News : Le Verger de marbre - Alex Taylor (Gallmeister)


À paraitre le 18 août prochain, ce premier roman de l'américain Alex Taylor et traduit par Anatole Pons, Le Verger de marbre, nouvel opus de la collection NeoNoir des éditions Gallmeister.

Présentation de l'éditeur :

En plein Kentucky rural, la Gasping River déploie son cours au milieu des falaises de calcaire et des collines couvertes de champs de maïs et de soja. Un soir où il remplace son père, qui conduit le ferry parcourant la rivière dans les deux sens, le jeune Beam Sheetmire tue un passager qui tente de le dévaliser. Mais sa victime est le fils de Loat Duncan, puissant homme d’affaires local et assassin sans pitié. Toujours accompagné de ses chiens menaçants, Loat est lui-même porteur d’un lourd secret concernant le passé de Beam. Aidé par son père, le jeune homme prend la fuite, tandis que Loat et Elvis, le shérif, se lancent à ses trousses.

Frédéric Fontès, www.4decouv

dimanche 12 juin 2016

Chronique : W3 t.3, le Calice Jusqu'à la Lie - J. Camut & N. Hug (Télémaque)

Présentation ICI

Je ne sais pas si Nathalie Hug et Jérôme Camut ont déjà eu véritablement l'occasion de récolter ce qu'ils ont semé (je pense que leur lectorat sait parfaitement ce qu'il leur doit) mais quand je vois les merveilles qu'ils nous proposent avec la régularité d'un métronome, ils devraient voir pousser devant eux les plus magnifiques massifs de fleurs.

Et même si les racines de certains noyers peuvent cacher quelques cadavres odieux...

Et l'analogie avec les graines fonctionne à merveille avec les personnages de leurs romans et plus précisément de cette trilogie : on voit littéralement pousser des fleurs comme autant de personnages, qui mutent au fil du temps. On aime en détester certaines d'emblée, qui passent de ronces à de superbes fleurs ou on finit par en détester d'autres qui deviennent vénéneuses à leur tour.

Ce n'est pas surprenant de retrouver une telle qualité d'écriture dans un nouveau livre des CamHug quand on connait leur bibliographie. Mais c'est toujours une belle surprise de découvrir à quel point ils parviennent à chaque fois à remettre la barre un peu plus haute. Et avec toujours cette particularité, cette signature qui consiste à utiliser différents chemins, différentes pistes pour atteindre le cœur de leurs lecteurs.

Un grand merci à Nathalie Hug et Jérôme Camut pour cette montagne de travail qui nous permet au bout du chemin, d'avoir un ouvrage d'une telle qualité.

Merci !

À lire mes chroniques des précédents opus de la trilogie :

W3 t.1 Le sourire des pendus
W3 t.2 Le mal par le mal

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

vendredi 10 juin 2016

News : Le bal mécanique - Yannick Grannec (Anne Carrière)

 


Le 25 août prochain, les éditions Anne Carrière et Yannick Grannec vous donnent rendez-vous en librairie pour le Bal mécanique.

Présentation de l'éditeur :

Un soir de 1929, la prestigieuse école du Bauhaus, à Dessau, a donné un bal costumé. C’était avant que les nazis ne dévorent l’Europe, c’était un temps où l’on pouvait encore croire au progrès, à l’Art et au sens de l’Histoire. Pendant ce bal, une jeune femme, Magda, a dansé, bu et aimé.
Quel rapport avec Josh Shors, animateur à Chicago d’une émission de téléréalité dont le succès tapageur mêle décoration d’intérieur et thérapie familiale ? 
Quel rapport avec son père, Carl, peintre oublié qui finit sa vie à Saint-Paul-de-Vence, hanté par les fantômes de la guerre de Corée et les mensonges d’une enfance déracinée ? 
Quel rapport avec Cornelius Gurlitt, cet homme discret chez qui on a découvert en 2012 la plus grande collection d’art spoliée par le IIIe Reich ? 
Quel rapport avec le marchant d’art Theodor Grenzberg, qui poursuit sa femme, Luise, dans la folle nuit berlinoise ? 
Quel rapport avec Gropius, Klee, Rothko, Marx, Scriabine, l’obsession de la résilience et Ikea ? Un siècle, une famille, l’Art et le temps.
Vous êtes invités au Bal mécanique. Le deuxième roman de Yannick Grannec.

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

News : La viande des chiens, le sang des loups - Misha Halden (Fleuve)


La Viande des chiens, le sang des loups est le premier thriller d'une romancière dont le pseudo est Misha Halden.

En attendant de pouvoir (ou non) vous révéler l'identité de cette mystérieuse auteure, cochez le 13 octobre 2016 sur votre calendrier (à paraitre aux éditions Fleuve).

Présentation de l'éditeur :

1917. Un jeune soldat écrit des lettres à l'enfant qu'il ne connaîtra pas. Il est assis dans un train qui le conduit vers des jours meilleurs. Mais une femme le fixe du regard depuis un bon moment. Dans les soubresauts réguliers du wagon, celui qui a échappé aux séquelles physiques de la Grande Guerre tombe soudain sous la sauvagerie des coups de stylet. 

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

News : Dictionnaire de la France mystérieuse - Marie-Charlotte Delmas (Omnibus)



Le Dictionnaire de la France mystérieuse : rites magiques, croyances populaires, sorcellerie, superstitions de Marie-Charlotte Delmas, sera disponible le 20 octobre prochain aux éditions Omnibus.
 

Après 4 ans d'un travail acharné, le premier volet de son dictionnaire est désormais achevé. Le prochain opus est annoncé pour mai 2017.

Son site perso :  http://www.mc-delmas.com/ 

Vivement octobre !

Présentation de l'éditeur :

Dans une France largement rurale, le peuple s’est entouré d’un ensemble de rites, de croyances et de superstitions, parfois très localisés, expliquant les mystères du monde. Ils accompagnent les grands passages de l’existence (naissance, mariage, mort…), les phénomènes naturels (météorologie, maladies…), les moments-clés de l’année (saisons, solstices, fêtes religieuses ou d’origine païenne…), tout un corpus magique largement remodelé par l’Eglise au cours du Moyen Age.
Fruit d’une vie de recherches, cet ouvrage rassemble et synthétise la somme des connaissances, à l’origine souvent obscure, que les folkloristes du xixe siècle ont collectées dans les campagnes françaises.

D’Abeille à Vrillette, chaque article traite la croyance ou la superstition selon les caractéristiques régionales et intègre récits et témoignages. Une centaine de gravures anciennes illustrent le propos en apportant des informations supplémentaires.

À paraître en mai 2017, le Dictionnaire de la France merveilleuse viendra compléter cette somme en traitant, sous la même forme, du surnaturel, des êtres fantastiques, des hantises et des lieux enchantés.
Sémiologue, docteur en sciences du langage, Marie-Charlotte Delmas est spécialiste du folklore populaire français. Elle a publié de nombreux ouvrages, dont Superstitions et croyances des pays de France (Chêne, 2003) et Le Grand Légendaire de France (Omnibus, 3 volumes, 2006-2007, prix Imaginales 2007). En librairie le 20 octobre 2016.


Frédéric Fontès, www.4decouv.com

mardi 7 juin 2016

News : Catalogue d'Octobre 2016 - Albin Michel






Je viens de tomber sur le programme d'Octobre 2016 des éditions Albin Michel et on va avoir du très lourd ce mois là, commencez dès maintenant à mettre des billets de côté... Un extrait des titres à paraitre :

* La Mort nomade de Ian Manook
Présentation de l'éditeur :
Yeruldelgger, commissaire de police à Oulan Bator, souhaitait prendre une retraite bien méritée mais ce sera pour plus tard : un enlèvement, un charnier, un géologue français assassiné et une empreinte de loup marquée au fer rouge sur les cadavres de quatre agents de sécurité requièrent ses services. Une plongée dans les malversations des compagnies minières et les traditions ancestrales mongoles.

* Nous les chats de Bernard Werber.
Présentation de l'éditeur :
Pythagore, chat de laboratoire appareillé pour se connecter avec les ordinateurs enseigne à Bastet, jeune chatte Montmartroise, à communiquer avec les humains pour tenter de leur faire prendre conscience de la violence de leur société.

* D'or et de sang de Catherine Hermary-Vieille.
Présentation de l'éditeur :
Les dernières décennies du règne des Valois, de la mort d'Henri II au règne d'Henri III : une fin de XVIe siècle chaotique et barbare trouvant son apogée sanglante dans la Saint-Barthélemy.

* La Bazar des mauvais rêves de Stephen King (un nouveau recueil de nouvelles).
Présentation de l'éditeur :
Un recueil de nouvelles auscultant les paradoxes de l'Amérique et abordant des thèmes tels que les souffrances individuelles et collectives, la vieillesse et la mort, la culpabilité, etc.

* Une mort qui en vaut la peine (The Heavenly Table) de Donald Ray Pollock.
Présentation de l'éditeur
1917, quelque part entre la Géorgie et l'Alabama. Trois frères, Cane, Cob et Chimney Jewell, vivent sous la férule d'un père obsédé par la religion. A sa mort, inspirés par un roman à trois sous, ils sont bien décidés à survivre en braquant des banques. Ils se retrouvent poursuivis par les autorités et une réputation effroyable, mais la vérité est plus complexe que la légende.

Sacré mois, n'est-ce pas ?

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

samedi 4 juin 2016

Salon : Saint-Maur en poche 2016



Le 8e Salon International du Livre au Format de Poche de Saint-Maur se déroulera les 18 et 19 juin prochain. Cette année, 216 invité(e)s, oui oui, 216, viendront à votre rencontre.

Et l'Angleterre sera à l'honneur, alors vous êtes invités à venir avec votre chapeau !

Pour voir la liste des invité(e)s, c'est ICI

J'aurai l'immense privilège de pouvoir à nouveau animer deux débats sur la Scène des Déblogueurs, (après ceux animés l'année dernière avec Marie Neuser et Ian Manook)  :

SAMEDI 18 JUIN 16h05 – Scène des Déblogueurs

En tête à tête avec MAUD MAYERAS

DIMANCHE 19 JUIN 16h20 – Scène des Déblogueurs avec Jean-Edgar Casel

Le « rural noir »

BENOIT MINVILLE, CHRISTIAN CARAYON et FRANCK BOUYSSE

Le plaisir ne serait pas complet sans la présence de l'ami Yvan Fauth, qui lui aussi est de retour cette année avec des rencontres de dingues dont le programme est à retrouver ICI.

On compte sur vous les ami(e)s pour venir à cette incroyable fête du livre, fête du romancier et fête du lecteur !

Frédéric Fontès, www.4decouv.com