Le tome 6 d'Autre-Monde, Neverland, de Maxime Chattam, sera en librairie le 01e novembre.
Quelques jours plus tard, c'est le troisième tome, Le Cœur de la terre, qui sera disponible en format poche.
L'ennemi a détruit le deuxième Cœur de la Terre, séparé Matt, Ambre et Tobias.
Alors qu'Entropia et ses créatures monstrueuses poursuivent leur
entreprise de destruction, Matt découvre Neverland, la forteresse
secrète et mystérieuse des Fantômes, les jeunes rebelles de l'empire d'Oz.
L'Alliance des trois arrivera-t-elle à se reformer à temps pour sauver les enfants d Europe ?
L'heure de révéler les ultimes secrets d'Autre-Monde approche.
Frédéric Fontès, 4decouv
mercredi 23 octobre 2013
Entretien avec Antoine Tracqui (3-3)
Dernière partie de l'interview consacrée à Antoine Tracqui pour son roman Point Zéro. Les précédentes séries de questions sont disponibles ICI et LÀ.
8/ Frédéric Fontès : Avec ces différents thèmes que vous exploitez parfaitement dans le livre, quelles sont vos multiples sources d’inspirations ? Des auteurs et des lectures à conseiller ?
Antoine Tracqui : C’est difficile de répondre à cette question... je pourrais vous citer des centaines de titres de bouquins, de BD ou de films que j’ai aimés, mais je serais bien en peine de vous dire lesquels ont véritablement constitué des sources d’inspiration pour Point Zéro... d’autant que ladite inspiration me vient très souvent en dormant ! (d’ailleurs j’ai toujours un petit carnet à côté du lit, pour y noter les idées de la nuit avant qu’elles ne s’évaporent...)
9/ FF : On a déjà dû vous le dire de nombreuses fois, mais avec Point Zéro, vous faites aussi bien, si ce n'est mieux que les auteurs anglo-saxons que j'ai cités plus haut. Vous aimeriez que le roman soit traduit en anglais, est-ce prévu ?
AT : Arrêtez la pommade, là vraiment j’en peux plus... C’est sûr que j’adorerais voir Point Zéro traduit en anglais (ainsi d’ailleurs qu’en hindi, en mandarin, en yakoute ou en navajo) ; ce serait juste un degré de plus dans ce conte de fées qui dure depuis que Critic a accepté mon manuscrit.
Pour l’instant, rien n’est encore prévu... ça va surtout dépendre du succès du bouquin en France (il n’est en vente que depuis 3 mois), et de l’intérêt qu’il parviendra éventuellement à susciter à l’étranger. Affaire de com, entre autres - et ça, c’est le job de mon éditeur, surtout pas le mien !!
10/ FF : Et en film, vous verriez qui dans le casting ?
AT : En film... et pourquoi pas en jeu pour la Xbox ? ou en ballet à l’Opéra de Paris ? ou en réédition pour la Pléiade, peut-être ? Enfin, admettons... Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne lorsque je visionne la version film d’un bouquin que j’ai bien aimé, je suis toujours un peu décontenancé, voire carrément horrifié, par le casting. Pourquoi ? Parce qu’en lisant je me suis fait une image mentale de chacun des personnages - parfois fort différente de la description physique qu’en donne l’auteur - et que, forcément, le choix du réalisateur va venir contredire. C’est d’ailleurs ce qui fait la magie du livre par rapport aux autres média, cette faculté laissée au lecteur d’imaginer Poppy Borghese sous les traits de Scarlett Johansson si ça lui chante...
Tout ça pour vous dire que le casting hautement spéculatif qui suit n’engage que ma modeste personne, et que je m’excuse par avance auprès des lecteurs qui, très probablement, ne partageront pas ma vision des choses...Donc, allons-y gaiement :
- pour Kjölsrud, facile : ça ne peut être que John Malkovich (avec un air halluciné et de longs cheveux grisâtres et sales, façon roi Lear) ;
- pour Poppy, je penserais d’abord à Noomi Rapace affublée exactement comme dans Millenium, tattoos et piercings en moins. Ça ne vous convient pas ? Alors mon plan B, dans un style un peu plus glam’, c’est Jennifer Love Hewitt : imaginez-la comme ceci ou comme cela, avec une tignasse bien crasseuse et des taches suspectes sur ses fringues, pas mal, non ? Quoi ? Poppy n’est pas censée avoir de tels... avantages ? Et alors ? Osez dire que ça vous dérange !!
- Caleb : Pour lui, j’ai pas mal hésité. Caleb, à l’évidence, n’est pas aussi exubérant que ses copains : c’est le mec calme, réfléchi, un peu taiseux, qui est là quand on a besoin de lui, mais pas vraiment du genre à briller en société (par exemple on l’imagine mal, au huitième Ricard, monter sur la table et interpréter « La bite à Dudule » avec le calbute sur les chevilles). Il est un peu du style Jason Bourne, d’ailleurs j’avais pensé un moment à Matt Damon, ou alors à Mark Wahlberg qui interprète souvent des personnages similaires... mais à la réflexion je les trouve quand même un peu trop figés... alors finalement je choisis : Gerard Butler (et en plus il est écossais !).
- Gretchen, c’est la übernana aryenne, grande, blonde, sportive, port altier, zéro défaut... mais tout de même plus sympa que ne pourrait le laisser supposer son genre de beauté. Elle adore Caleb, ne se prive pas de l’envoyer sur les roses à l’occasion ; comme Poppy, elle arbore souvent un petit sourire sarcastique (mais pas pour les mêmes raisons : elle, c’est parce que son job à la Hard Rescues l’oblige à cotoyer un trio de paysans pleins de testostérone... ) ; je la verrais bien sous les traits (parfaits) de Blake Lively.
- de mon point de vue, Sarah Miller fait un peu plus girl next door ; bien qu’également fort belle, elle est moins sûre d’elle, un peu plus empruntée... et surtout elle a l’air gentille : je verrais bien quelqu’un comme Erin Chambers, ou bien Kaley Cuoco.
- pour Joshua, il faudrait bien sûr un costaud d’origine maori (mais un native American devrait coller également !)... Problème, je n’ai pas de nom qui me vient !
- pour Viktor Bernstein, n’importe quel petit gros dans la soixantaine devrait faire l’affaire (mais quand même pas Danny DeVito, hein !)
- quant à One-Shot que je gardais pour la bonne bouche, je crains qu’il ne faille recourir aux images de synthèse...
Voilà, je pense avoir fait à peu près le tour... il ne vous reste plus, chers admirateurs, qu’à appeler James Cameron ou Roland Emmerich de ma part !
11/ FF : Et la suite donc ?
AT : Pour l’instant mes ambitions se résument à boucler la trilogie prévue, ce qui en soi n’est déjà pas une mince affaire. Le volume 2 est déjà bien avancé (j’attaque le chapitre 30, yes !!... [Fredo : fin aout 2013]), livraison prévue février-mars 2014 pour une parution aux alentours de l’été si les corrections vont vite ; bien sûr je ne vous en dirai rien, sinon qu’on prend les mêmes et qu’on recommence, avec une nouvelle quête encore plus décoiffante et des nouveaux méchants encore plus méchants ! Quant au volume 3 je n’ai pas la plus petite idée de ce qu’il va raconter (sauf les 2 dernières pages, vu que je sais exactement comment ça va finir !) ; mon contrat prévoit de le rendre fin 2015, ce qui je l’espère me laissera du temps pour remplir les quelque 998 pages précédentes.
Comme je l’avais déjà indiqué dans une autre interview, j’ai pas mal d’autres projets de bouquins mais là on est dans le domaine de l’hypothétique... pour que j’arrive à les concrétiser dans un avenir raisonnable (c’est-à-dire tant qu’il me reste assez de neurones), il faudrait que je puisse faire une pause dans mon métier principal et me consacrer à temps plein à l’écriture... rêve partagé, je le pense, par 100 % des écrivains et qui se réalise pour 0,01 % d’entre eux !
J’en profite donc pour lancer un appel solennel à tout généreux donateur, mécène des arts ou éditeur désireux de me voir écrire plein de livres : il suffit de me faire un chèque avec suffisamment de zéros, et je m’y mets tout de suite ! (N.B. : toute contribution déductible de votre revenu donnera lieu à un récépissé fiscal).
12/ FF : Une question que j'ai omis de vous poser et à laquelle vous souhaiteriez répondre ?
AT : Ben non... j’ai une petite fatigue, là.
Un immense merci à l'auteur Antoine Tracqui et à sa maison d'édition Critic pour l'enthousiasme et leur disponibilité.
Frédéric Fontès, 4decouv
8/ Frédéric Fontès : Avec ces différents thèmes que vous exploitez parfaitement dans le livre, quelles sont vos multiples sources d’inspirations ? Des auteurs et des lectures à conseiller ?
Antoine Tracqui : C’est difficile de répondre à cette question... je pourrais vous citer des centaines de titres de bouquins, de BD ou de films que j’ai aimés, mais je serais bien en peine de vous dire lesquels ont véritablement constitué des sources d’inspiration pour Point Zéro... d’autant que ladite inspiration me vient très souvent en dormant ! (d’ailleurs j’ai toujours un petit carnet à côté du lit, pour y noter les idées de la nuit avant qu’elles ne s’évaporent...)
9/ FF : On a déjà dû vous le dire de nombreuses fois, mais avec Point Zéro, vous faites aussi bien, si ce n'est mieux que les auteurs anglo-saxons que j'ai cités plus haut. Vous aimeriez que le roman soit traduit en anglais, est-ce prévu ?
AT : Arrêtez la pommade, là vraiment j’en peux plus... C’est sûr que j’adorerais voir Point Zéro traduit en anglais (ainsi d’ailleurs qu’en hindi, en mandarin, en yakoute ou en navajo) ; ce serait juste un degré de plus dans ce conte de fées qui dure depuis que Critic a accepté mon manuscrit.
Pour l’instant, rien n’est encore prévu... ça va surtout dépendre du succès du bouquin en France (il n’est en vente que depuis 3 mois), et de l’intérêt qu’il parviendra éventuellement à susciter à l’étranger. Affaire de com, entre autres - et ça, c’est le job de mon éditeur, surtout pas le mien !!
10/ FF : Et en film, vous verriez qui dans le casting ?
AT : En film... et pourquoi pas en jeu pour la Xbox ? ou en ballet à l’Opéra de Paris ? ou en réédition pour la Pléiade, peut-être ? Enfin, admettons... Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne lorsque je visionne la version film d’un bouquin que j’ai bien aimé, je suis toujours un peu décontenancé, voire carrément horrifié, par le casting. Pourquoi ? Parce qu’en lisant je me suis fait une image mentale de chacun des personnages - parfois fort différente de la description physique qu’en donne l’auteur - et que, forcément, le choix du réalisateur va venir contredire. C’est d’ailleurs ce qui fait la magie du livre par rapport aux autres média, cette faculté laissée au lecteur d’imaginer Poppy Borghese sous les traits de Scarlett Johansson si ça lui chante...
Tout ça pour vous dire que le casting hautement spéculatif qui suit n’engage que ma modeste personne, et que je m’excuse par avance auprès des lecteurs qui, très probablement, ne partageront pas ma vision des choses...Donc, allons-y gaiement :
- pour Kjölsrud, facile : ça ne peut être que John Malkovich (avec un air halluciné et de longs cheveux grisâtres et sales, façon roi Lear) ;
- pour Poppy, je penserais d’abord à Noomi Rapace affublée exactement comme dans Millenium, tattoos et piercings en moins. Ça ne vous convient pas ? Alors mon plan B, dans un style un peu plus glam’, c’est Jennifer Love Hewitt : imaginez-la comme ceci ou comme cela, avec une tignasse bien crasseuse et des taches suspectes sur ses fringues, pas mal, non ? Quoi ? Poppy n’est pas censée avoir de tels... avantages ? Et alors ? Osez dire que ça vous dérange !!
- Caleb : Pour lui, j’ai pas mal hésité. Caleb, à l’évidence, n’est pas aussi exubérant que ses copains : c’est le mec calme, réfléchi, un peu taiseux, qui est là quand on a besoin de lui, mais pas vraiment du genre à briller en société (par exemple on l’imagine mal, au huitième Ricard, monter sur la table et interpréter « La bite à Dudule » avec le calbute sur les chevilles). Il est un peu du style Jason Bourne, d’ailleurs j’avais pensé un moment à Matt Damon, ou alors à Mark Wahlberg qui interprète souvent des personnages similaires... mais à la réflexion je les trouve quand même un peu trop figés... alors finalement je choisis : Gerard Butler (et en plus il est écossais !).
- Gretchen, c’est la übernana aryenne, grande, blonde, sportive, port altier, zéro défaut... mais tout de même plus sympa que ne pourrait le laisser supposer son genre de beauté. Elle adore Caleb, ne se prive pas de l’envoyer sur les roses à l’occasion ; comme Poppy, elle arbore souvent un petit sourire sarcastique (mais pas pour les mêmes raisons : elle, c’est parce que son job à la Hard Rescues l’oblige à cotoyer un trio de paysans pleins de testostérone... ) ; je la verrais bien sous les traits (parfaits) de Blake Lively.
- de mon point de vue, Sarah Miller fait un peu plus girl next door ; bien qu’également fort belle, elle est moins sûre d’elle, un peu plus empruntée... et surtout elle a l’air gentille : je verrais bien quelqu’un comme Erin Chambers, ou bien Kaley Cuoco.
- pour Joshua, il faudrait bien sûr un costaud d’origine maori (mais un native American devrait coller également !)... Problème, je n’ai pas de nom qui me vient !
- pour Viktor Bernstein, n’importe quel petit gros dans la soixantaine devrait faire l’affaire (mais quand même pas Danny DeVito, hein !)
- quant à One-Shot que je gardais pour la bonne bouche, je crains qu’il ne faille recourir aux images de synthèse...
Voilà, je pense avoir fait à peu près le tour... il ne vous reste plus, chers admirateurs, qu’à appeler James Cameron ou Roland Emmerich de ma part !
11/ FF : Et la suite donc ?
AT : Pour l’instant mes ambitions se résument à boucler la trilogie prévue, ce qui en soi n’est déjà pas une mince affaire. Le volume 2 est déjà bien avancé (j’attaque le chapitre 30, yes !!... [Fredo : fin aout 2013]), livraison prévue février-mars 2014 pour une parution aux alentours de l’été si les corrections vont vite ; bien sûr je ne vous en dirai rien, sinon qu’on prend les mêmes et qu’on recommence, avec une nouvelle quête encore plus décoiffante et des nouveaux méchants encore plus méchants ! Quant au volume 3 je n’ai pas la plus petite idée de ce qu’il va raconter (sauf les 2 dernières pages, vu que je sais exactement comment ça va finir !) ; mon contrat prévoit de le rendre fin 2015, ce qui je l’espère me laissera du temps pour remplir les quelque 998 pages précédentes.
Comme je l’avais déjà indiqué dans une autre interview, j’ai pas mal d’autres projets de bouquins mais là on est dans le domaine de l’hypothétique... pour que j’arrive à les concrétiser dans un avenir raisonnable (c’est-à-dire tant qu’il me reste assez de neurones), il faudrait que je puisse faire une pause dans mon métier principal et me consacrer à temps plein à l’écriture... rêve partagé, je le pense, par 100 % des écrivains et qui se réalise pour 0,01 % d’entre eux !
J’en profite donc pour lancer un appel solennel à tout généreux donateur, mécène des arts ou éditeur désireux de me voir écrire plein de livres : il suffit de me faire un chèque avec suffisamment de zéros, et je m’y mets tout de suite ! (N.B. : toute contribution déductible de votre revenu donnera lieu à un récépissé fiscal).
12/ FF : Une question que j'ai omis de vous poser et à laquelle vous souhaiteriez répondre ?
AT : Ben non... j’ai une petite fatigue, là.
Un immense merci à l'auteur Antoine Tracqui et à sa maison d'édition Critic pour l'enthousiasme et leur disponibilité.
Frédéric Fontès, 4decouv
mercredi 16 octobre 2013
Le tango de la vieille garde - Arturo Pérez-Reverte (Seuil)
Les fans du romancier Arturo Pérez-Reverte vont avoir le plaisir de découvrir le 10 octobre prochain son nouveau livre dans les étales des librairies.
La tango de la vieille garde est traduit par François Maspero et publié aux éditions du Seuil.
Roman d'aventure et d'amour, Le Tango de la vieille garde narre la liaison tumultueuse d'une riche femme du monde et d'un danseur professionnel mi gigolo mi gentleman cambrioleur. Le roman se situe dans les années vingt sur un transatlantique et dans les bas-fonds de Buenos Aires, au début des années trente sur la Riviera où a lieu une affaire d'espionnage liée à la guerre civile espagnole, et dans les années soixante à Sorrente lors d'un inquiétant tournoi d'échecs. En quarante ans, Max et Mercedes ne se rencontrent qu'à trois reprises, mais à la passion qui les consume s'opposent des intérêts liés à des forces obscures : des lettres du gendre et ministre des relations extérieures de Mussolini cachées dans le coffre-fort d'un banquier espagnol pourvoyeur de fonds du coup d'Etat de Franco et les carnets secrets du champion mondial d'échecs détenus par le KGB. Sexe, aventure et glamour sur fond de tango, le nouveau roman d'Arturo Pérez Reverte s'adresse à un large éventail de lecteurs et contient tous les ingrédients du succès.
Frédéric Fontès, 4decouv
La tango de la vieille garde est traduit par François Maspero et publié aux éditions du Seuil.
Roman d'aventure et d'amour, Le Tango de la vieille garde narre la liaison tumultueuse d'une riche femme du monde et d'un danseur professionnel mi gigolo mi gentleman cambrioleur. Le roman se situe dans les années vingt sur un transatlantique et dans les bas-fonds de Buenos Aires, au début des années trente sur la Riviera où a lieu une affaire d'espionnage liée à la guerre civile espagnole, et dans les années soixante à Sorrente lors d'un inquiétant tournoi d'échecs. En quarante ans, Max et Mercedes ne se rencontrent qu'à trois reprises, mais à la passion qui les consume s'opposent des intérêts liés à des forces obscures : des lettres du gendre et ministre des relations extérieures de Mussolini cachées dans le coffre-fort d'un banquier espagnol pourvoyeur de fonds du coup d'Etat de Franco et les carnets secrets du champion mondial d'échecs détenus par le KGB. Sexe, aventure et glamour sur fond de tango, le nouveau roman d'Arturo Pérez Reverte s'adresse à un large éventail de lecteurs et contient tous les ingrédients du succès.
Frédéric Fontès, 4decouv
Yeruldelgger - Ian Manook (Albin Michel)
Le premier roman du journaliste Ian Manook est disponible en librairie depuis le 2 octobre. Il est publié aux éditions Albin Michel.
Yeruldelgger est le premier opus d'une série consacrée au personnage éponyme.
Cinq ans plus tôt, Kushi, la fille de l'inspecteur Yeruldelgger a été enlevée et assassinée pour l'obliger à abandonner une enquête sur la corruption liée au rachat des terres de la steppe mongole. La découverte du cadavre d'une autre fillette va le replonger dans les mêmes tourments.
Dans un pays à l'histoire et aux paysages sauvages, une guerre sale d'argent et de pouvoir s'est déclarée autour d'une des richesses minières les plus rares et les plus convoitées de la planète. Pour lutter contre les puissances qui veulent s'accaparer son pays, Yeruldelgger va puiser ses forces dans les traditions héritées des guerriers de Gengis Khan, dans les techniques modernes d'investigation, et dans la force de ses poings. Parce qu'un homme qui a tout perdu ne peut rien perdre de plus. Il ne peut que tout reconquérir. Peu à peu, sans pitié ni pardon...
Frédéric Fontès, 4decouv
Yeruldelgger est le premier opus d'une série consacrée au personnage éponyme.
Cinq ans plus tôt, Kushi, la fille de l'inspecteur Yeruldelgger a été enlevée et assassinée pour l'obliger à abandonner une enquête sur la corruption liée au rachat des terres de la steppe mongole. La découverte du cadavre d'une autre fillette va le replonger dans les mêmes tourments.
Dans un pays à l'histoire et aux paysages sauvages, une guerre sale d'argent et de pouvoir s'est déclarée autour d'une des richesses minières les plus rares et les plus convoitées de la planète. Pour lutter contre les puissances qui veulent s'accaparer son pays, Yeruldelgger va puiser ses forces dans les traditions héritées des guerriers de Gengis Khan, dans les techniques modernes d'investigation, et dans la force de ses poings. Parce qu'un homme qui a tout perdu ne peut rien perdre de plus. Il ne peut que tout reconquérir. Peu à peu, sans pitié ni pardon...
Frédéric Fontès, 4decouv
vendredi 11 octobre 2013
Les Abeilles de Monsieur Holmes - Mitch Cullin (Naïve)
Si l'on en croit un article publié dans le dernier numéro de la revue l’Écran Fantastique (n°346), c'est Ian McKellen qui va incarner au cinéma un Sherlock Holmes vieillissant dans l'adaptation du roman de Mitch Cullin. Le film sera réalisé par Bill Condon.
Sussex, 1947. Sherlock Holmes vit retiré d'un monde dont les mutations et le tapage absurde lui échappent de plus en plus. Seuls le préoccupent à présent ses abeilles, l'écriture et le déclin de sa mémoire. Mais certains êtres cherchent encore auprès de lui des réponses essentielles sur la vie, l'amour ou les limites terriblement humaines de la raison, provoquant la résurgence d'émotions que Holmes avaient si longtemps enfouies, fissurant sa maîtrise légendaire...
Dans ce portrait subtil et doux-amer d'une figure mythique, réflexion sur l'absence du père, le temps qui passe et les barrières intérieures que l'on s'impose, Mitch Cullin mène l'enquête, entrelaçant trois histoires, trois temps de la vie de Holmes, et porte sur le personnage un éclairage inédit et émouvant.
Frédéric Fontès, 4decouv
Sussex, 1947. Sherlock Holmes vit retiré d'un monde dont les mutations et le tapage absurde lui échappent de plus en plus. Seuls le préoccupent à présent ses abeilles, l'écriture et le déclin de sa mémoire. Mais certains êtres cherchent encore auprès de lui des réponses essentielles sur la vie, l'amour ou les limites terriblement humaines de la raison, provoquant la résurgence d'émotions que Holmes avaient si longtemps enfouies, fissurant sa maîtrise légendaire...
Dans ce portrait subtil et doux-amer d'une figure mythique, réflexion sur l'absence du père, le temps qui passe et les barrières intérieures que l'on s'impose, Mitch Cullin mène l'enquête, entrelaçant trois histoires, trois temps de la vie de Holmes, et porte sur le personnage un éclairage inédit et émouvant.
Frédéric Fontès, 4decouv
dimanche 6 octobre 2013
Docteur Sleep - Stephen King (Albin Michel)
Docteur Sleep de Stephen King arrive en France le 01e novembre prochain, aux éditions Albin Michel.
Danny Torrance a grandi. Ses démons aussi...
La suite tant attendue du cultissime Shining.
Stephen King renoue avec l histoire et le personnage de l un de ses plus grands succès : Shining.
Le petit Dany Torrance est désormais adulte. Il a échappé au sort de son père alcoolique et travaille en tant qu aide-soignant dans un hospice où il utilise ses pouvoirs surnaturels pour apaiser la souffrance des mourants. D où son surnom : Docteur Sleep. Il rencontre Abra, fillette de 12 ans, pourchassée par un étrange groupe de voyageurs qui traversent les États-Unis en se nourrissant de la lumière des enfants télépathes. Commence alors une guerre épique entre le bien et le mal...
King signe un livre magistral, d une richesse inouïe : à la fois conte fantastique, roman d aventure, thriller et allégorie de l Amérique contemporaine - et nous prouve qu il est bel et bien « The King » !
Frédéric Fontès, 4decouv
Danny Torrance a grandi. Ses démons aussi...
La suite tant attendue du cultissime Shining.
Stephen King renoue avec l histoire et le personnage de l un de ses plus grands succès : Shining.
Le petit Dany Torrance est désormais adulte. Il a échappé au sort de son père alcoolique et travaille en tant qu aide-soignant dans un hospice où il utilise ses pouvoirs surnaturels pour apaiser la souffrance des mourants. D où son surnom : Docteur Sleep. Il rencontre Abra, fillette de 12 ans, pourchassée par un étrange groupe de voyageurs qui traversent les États-Unis en se nourrissant de la lumière des enfants télépathes. Commence alors une guerre épique entre le bien et le mal...
King signe un livre magistral, d une richesse inouïe : à la fois conte fantastique, roman d aventure, thriller et allégorie de l Amérique contemporaine - et nous prouve qu il est bel et bien « The King » !
Frédéric Fontès, 4decouv
L'île des hommes déchus - Guillaume Audru (Caiman)
Le premier roman de Guillaume Audru sera publié par les éditions du Caiman.
Pour le pré-commander directement via l'éditeur avant sa publication en décembre, cliquez ICI.
Eddie Grist, ancien policier à Inverness, est de retour sur Stroma, son île natale, au nord de l'Ecosse. Il y retrouve ses parents, avec qui il a noué des relations difficiles, ainsi que ses rares amis. Mais à peine a-t-il pris ses marques qu'un squelette est découvert sur le chantier d'une résidence secondaire. Malgré son père, notable influent de l’île, Eddie ne pourra s’empêcher de se mêler à l’enquête… enquête officiellement confiée à Moira Holm, amour de jeunesse d'Eddie, qui a, elle aussi, quelques comptes à régler avec la communauté silencieuse de Stroma…
Frdéric Fontès, 4decouv
Pour le pré-commander directement via l'éditeur avant sa publication en décembre, cliquez ICI.
Eddie Grist, ancien policier à Inverness, est de retour sur Stroma, son île natale, au nord de l'Ecosse. Il y retrouve ses parents, avec qui il a noué des relations difficiles, ainsi que ses rares amis. Mais à peine a-t-il pris ses marques qu'un squelette est découvert sur le chantier d'une résidence secondaire. Malgré son père, notable influent de l’île, Eddie ne pourra s’empêcher de se mêler à l’enquête… enquête officiellement confiée à Moira Holm, amour de jeunesse d'Eddie, qui a, elle aussi, quelques comptes à régler avec la communauté silencieuse de Stroma…
Frdéric Fontès, 4decouv
Poche : Arrive un vagabond - Robert Goolrick
Le dernier roman de l'écrivain américain Robert Goolrick, Arrive un vagabond, sera disponible en format poche le 7 novembre, aux éditions Pocket.
C'est au cours de l'été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg. Il était chargé de deux valises — l'une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l'autre une importante somme d'argent.
Charlie y tomba deux fois amoureux. D'abord, il s'éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d'un Dieu qu'ils avaient toutes les raisons de trouver plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d'autres : il n'y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg.
La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra Sylvan Glass.
Voici ce que j'en disais en août 2012, lors de sa parution en grand format aux éditions Anne Carrière :
Gorge serrée, larmes aux yeux, comme si l'on venait de nous égratigner le cœur.
Les dernières pages du nouveau roman de Robert Goolrick sont bouleversantes et marquantes, à l'image d'une montée en puissance qui prend son élan dès les premières pages du livre.
« Je vais vous raconter une histoire. »
Les plus beaux contes commencent par "il était une fois". L'aventure d'une chanson ou d'un roman débute souvent avec un titre qui vous envoûte dès que vous en prenez connaissance. Un peu comme Une Femme simple et honnête, Féroces et Arrive un vagabond. Ce dernier titre choisi pour la traduction française des éditions Anne Carrière est assez éloquent en la matière.
Encore une fois (je l'évoquais déjà après ma lecture d'une Femme simple et honnête) il crée ici une sorte d'écho à l'histoire d'Amelia Evans, héroïne de la romancière Carson McCullers que l'on découvre dans la Ballade du café triste. Un peu comme si ces romans évolués dans un univers commun.
On y respire les premières flagrances d'une mélancolie et d'une passion enivrante, qui va de fil en aiguille nous oppresser. Ce parfum ne nous quittera jamais et il persistera au-delà de notre lecture. Ces trois mots, arrive un vagabond, sont le point de départ d'une histoire retentissante, le moment où les choses semblent encore figées. Comme dans une histoire racontée oralement, c'est le moment où l'on prend une grande respiration avant d'aborder l'un des éléments déterminant de l'histoire. Comme une ponctuation dans la présentation du cadre. L'arrivée de l'incarnation du destin. Le Destin de Brownsburg, avec deux valises.
Arrive un vagabond est une histoire que l'on a tous pu connaître dans nos vies. Celle d'un amour qui nous habite soudainement sans prévenir et qui nous quitte sans aucune promesse d'avenir. Cette passion amoureuse consumant Charlie et la belle Sylvan, va hanter la vie de ses acteurs et témoins. Un coup de foudre qui rassemble deux âmes abîmées et fait de nous des témoins privilégiés, comme le deviennent les fabuleux personnages secondaires de l'histoire tel que le petit garçon Sam et ses parents, la formidable couturière Claudie et même le chien Jackie.
Robert Goolrick ne se contente pas d'habiller ses personnages. Avec l'efficacité qu'on lui connait, il leur insuffle la vie et les nourrit pour les faire grandir. Il évoque des gens simples qui aspirent à vivre sobrement en s'efforçant de profiter des jolies choses mises à leur disposition. Il va dès le début brandir au dessus de leurs têtes une immense épée de Damoclès. Une menace perceptible en début de roman tel une simple brise, annonciatrice d'une grande tempête à venir.
Comme dans ses précédents livres, Robert Goolrick évoque le romantisme et la poésie des choses simples avec des mots simples. Une écriture qui devient partition, où chaque mot devient une note. Une symphonie à la fois magique et tragique, qui délivre dans sa dernière partie un crescendo, une montée orchestrale qui va tout souffler sur son passage, brutalement s'arrêter en nous laissant groggy, sonné, et seul.
J'ai rarement éprouvé cette sensation de lire et donc de vivre une œuvre capitale, et j'ose l'écrire, monumentale. La précédente fois, c'était avec le magnifique Julius Winsome de Gerard Donovan.
Quand je referme Arrive un vagabond, je comprends sans aucun doute possible, que j'ai en main un livre qui a vocation à devenir le joyau des bibliothèques de mes contemporains. Dès maintenant et pour les années à venir.
Frédéric Fontès, 4decouv
C'est au cours de l'été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg. Il était chargé de deux valises — l'une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l'autre une importante somme d'argent.
Charlie y tomba deux fois amoureux. D'abord, il s'éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d'un Dieu qu'ils avaient toutes les raisons de trouver plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d'autres : il n'y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg.
La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra Sylvan Glass.
Voici ce que j'en disais en août 2012, lors de sa parution en grand format aux éditions Anne Carrière :
Gorge serrée, larmes aux yeux, comme si l'on venait de nous égratigner le cœur.
Les dernières pages du nouveau roman de Robert Goolrick sont bouleversantes et marquantes, à l'image d'une montée en puissance qui prend son élan dès les premières pages du livre.
« Je vais vous raconter une histoire. »
Les plus beaux contes commencent par "il était une fois". L'aventure d'une chanson ou d'un roman débute souvent avec un titre qui vous envoûte dès que vous en prenez connaissance. Un peu comme Une Femme simple et honnête, Féroces et Arrive un vagabond. Ce dernier titre choisi pour la traduction française des éditions Anne Carrière est assez éloquent en la matière.
Encore une fois (je l'évoquais déjà après ma lecture d'une Femme simple et honnête) il crée ici une sorte d'écho à l'histoire d'Amelia Evans, héroïne de la romancière Carson McCullers que l'on découvre dans la Ballade du café triste. Un peu comme si ces romans évolués dans un univers commun.
On y respire les premières flagrances d'une mélancolie et d'une passion enivrante, qui va de fil en aiguille nous oppresser. Ce parfum ne nous quittera jamais et il persistera au-delà de notre lecture. Ces trois mots, arrive un vagabond, sont le point de départ d'une histoire retentissante, le moment où les choses semblent encore figées. Comme dans une histoire racontée oralement, c'est le moment où l'on prend une grande respiration avant d'aborder l'un des éléments déterminant de l'histoire. Comme une ponctuation dans la présentation du cadre. L'arrivée de l'incarnation du destin. Le Destin de Brownsburg, avec deux valises.
Arrive un vagabond est une histoire que l'on a tous pu connaître dans nos vies. Celle d'un amour qui nous habite soudainement sans prévenir et qui nous quitte sans aucune promesse d'avenir. Cette passion amoureuse consumant Charlie et la belle Sylvan, va hanter la vie de ses acteurs et témoins. Un coup de foudre qui rassemble deux âmes abîmées et fait de nous des témoins privilégiés, comme le deviennent les fabuleux personnages secondaires de l'histoire tel que le petit garçon Sam et ses parents, la formidable couturière Claudie et même le chien Jackie.
Robert Goolrick ne se contente pas d'habiller ses personnages. Avec l'efficacité qu'on lui connait, il leur insuffle la vie et les nourrit pour les faire grandir. Il évoque des gens simples qui aspirent à vivre sobrement en s'efforçant de profiter des jolies choses mises à leur disposition. Il va dès le début brandir au dessus de leurs têtes une immense épée de Damoclès. Une menace perceptible en début de roman tel une simple brise, annonciatrice d'une grande tempête à venir.
Comme dans ses précédents livres, Robert Goolrick évoque le romantisme et la poésie des choses simples avec des mots simples. Une écriture qui devient partition, où chaque mot devient une note. Une symphonie à la fois magique et tragique, qui délivre dans sa dernière partie un crescendo, une montée orchestrale qui va tout souffler sur son passage, brutalement s'arrêter en nous laissant groggy, sonné, et seul.
J'ai rarement éprouvé cette sensation de lire et donc de vivre une œuvre capitale, et j'ose l'écrire, monumentale. La précédente fois, c'était avec le magnifique Julius Winsome de Gerard Donovan.
Quand je referme Arrive un vagabond, je comprends sans aucun doute possible, que j'ai en main un livre qui a vocation à devenir le joyau des bibliothèques de mes contemporains. Dès maintenant et pour les années à venir.
Frédéric Fontès, 4decouv
samedi 5 octobre 2013
La Voie de la colère t.1 - Antoine Rouaud (Bragelonne)
Le premier roman de la série La Voie de la colère, sera disponible le 31 octobre prochain. Le Livre et l'Épée que l'on doit à Antoine Rouaud, sera publié par les éditions Bragelonne. Une belle manière de fêter les morts, non ?
On nous promet une œuvre magistrale, à suivre...
Dun-Cadal fut un jour le plus grand général de l’Empire, avant sa chute. Il raconte son histoire à une jeune historienne qui vient le trouver dans la taverne où il s’enivre pour oublier. L’officier lui révèle comment il fit chevalier le garçon qui lui sauva la vie. Durant les derniers instants chaotiques de l’empire, son protégé le trahit… Lorsque des sénateurs se font exécuter, Dun-Cadal reconnaît la marque de l’ancien assassin de l’Empire, qu’il a lui-même formé…
Frédéric Fontès, 4decouv
On nous promet une œuvre magistrale, à suivre...
Dun-Cadal fut un jour le plus grand général de l’Empire, avant sa chute. Il raconte son histoire à une jeune historienne qui vient le trouver dans la taverne où il s’enivre pour oublier. L’officier lui révèle comment il fit chevalier le garçon qui lui sauva la vie. Durant les derniers instants chaotiques de l’empire, son protégé le trahit… Lorsque des sénateurs se font exécuter, Dun-Cadal reconnaît la marque de l’ancien assassin de l’Empire, qu’il a lui-même formé…
Frédéric Fontès, 4decouv
mercredi 2 octobre 2013
Bien mal acquis - Yrsa Sigurdardóttir (Anne Carrière)
Le nouveau roman d'Yrsa Sigurdardóttir est disponible depuis le 26 septembre aux éditions Anne Carrière. Il est traduit de l'islandais par Catherine Mercy.
Un meurtre a été commis dans une ferme récemment rénovée. Une ferme qui avait la réputation d'être hantée. L'avocate Thóra Gudmundsdóttir est engagée par le propriétaire, principal suspect dans l'affaire, pour le représenter. Son enquête fait bientôt resurgir à la lumière le passé macabre de l'endroit.
Bien mal acquis consacre le retour de l'attachante avocate Thóra dans un nouveau thriller aussi astucieux que terrifiant.
Frédéric Fontès, 4decouv
Un meurtre a été commis dans une ferme récemment rénovée. Une ferme qui avait la réputation d'être hantée. L'avocate Thóra Gudmundsdóttir est engagée par le propriétaire, principal suspect dans l'affaire, pour le représenter. Son enquête fait bientôt resurgir à la lumière le passé macabre de l'endroit.
Bien mal acquis consacre le retour de l'attachante avocate Thóra dans un nouveau thriller aussi astucieux que terrifiant.
Frédéric Fontès, 4decouv
Inscription à :
Articles (Atom)