Roland est mort, de Nicolas Robin, est disponible en format poche depuis le 3 mai dernier, aux éditions Le Livre de Poche.
Voici ce que j'en disais il y a 1 an, quelques mois après sa sortie en grand format aux éditions Anne Carrière :
Roland est mort. Dans son court roman de 185 pages, l'auteur ouvre pour nous une petite boite de gourmandises.
En tournant les dernières pages, je suis pris d'une compassion
judéo-chrétienne complètement folle, et me décide d'en faire un billet
de lecture.
À la manière d'un Philippe Delerm, Nicolas Robin souligne ces
malicieuses petites choses douces et amères qui tourbillonnent dans nos
vies. Et surtout dans la vie de ce "jeune" héros quarantenaire
légèrement bedonnant... Oui, ça me fait penser à quelqu'un...
Comme lui au fil des pages, je me gratte la barbe, je m'aplatis les
cheveux de la paume de la main. Et je m'interroge sur les surprises que
nous réserve parfois le destin.
Penchez-vous sur cette tranche de vie qui saura colorer vos joues et
faire briller vos yeux, c'est la lecture idéale pour accueillir le
retour des beaux jours !
Voir aussi la chronique que j'ai consacré à son nouveau roman, Je ne sais pas dire je t'aime.
Frédéric Fontès, www.4decouv.com
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