Rendez-vous le 29 aout pour lire le roman de Bruce Holbert, Animaux Solitaires, à paraitre aux étions Gallmeister.
Il est traduit de l'américain par Jean-Paul Gratias.
Les amateurs de Craig Johnson pourraient trouver ici de quoi patienter entre deux parutions des nouvelles aventures du shérif Longmire.
Comté de l'Okanogan, État de Washington, 1932. Russel Strawl, ancien
officier de police, reprend du service pour participer à la traque d’un
tueur laissant dans son sillage des cadavres d'Indiens minutieusement
mutilés. Ses recherches l'entraînent au cœur des plus sauvages vallées
de l'Ouest, là où les hommes qui n'ont pas de sang sur les mains sont
rares et où le progrès n'a pas encore eu raison de la barbarie. De
vieilles connaissances croisent sa route, sinistres échos d'une vie
qu'il avait laissée derrière lui, tandis que se révèlent petit à petit
les noirs mystères qui entourent le passé du policier et de sa famille.
À l'instar des romans de Charles Portis ou de Cormac McCarthy, Animaux solitaires
mêle avec brio les codes du western et ceux des plus grands romans
noirs. Un premier roman remarquable dont on ne pourra oublier le héros
mélancolique qui rêve d'imposer la justice aux confins de la
civilisation. Quel que soit le prix à payer.
Bruce Holbert a grandi au pied des Okanogan Mountains, dans l'État de
Washington. Son arrière-grand-père, éclaireur indien de l’armée des
États-Unis, était un homme respecté jusqu'à ce qu’il assassine son
gendre, le grand-père de Bruce Holbert, qui s'est inspiré de cette
tragédie pour son premier roman, Animaux solitaires. Il est
diplômé de l'Université de l’Iowa où il enseigne aujourd'hui. Plusieurs
des ses nouvelles ont été publiées dans des revues littéraires.
Frédéric Fontès, 4decouv
1 commentaire:
animaux solidaires a l'air un livre assez fort sur la vengeance et la justice
Enregistrer un commentaire