Le nouveau roman de Dean Koontz vient de paraitre aux éditions JC Lattès. Il est traduit par Philippe Bonnet.
On tient votre femme. On vous la rendra contre deux millions de dollars en liquide. Le jardinier paysagiste Mitchell Rafferty croit d’abord à une blague. Il était en train de planter des impatiences dans le jardin d’un de ses clients quand son portable s’est mis à sonner. D’un seul coup, banlieue paisible et soleil estival se font cauchemardesques. Le type qui parle à l’autre bout du fil est sacrément sérieux.
Il détient la femme de Mitch et a donné son prix pour la rendre saine et sauve, se moquant totalement du fait que Mitch dirige une petite entreprise de deux employés et qu’il n’a aucun moyen de réunir une telle somme. Il est certain que Mitch trouvera un expédient. S’il aime suffisamment sa femme. Mitch l’aime suffisamment. Il l’aime plus que sa propre vie et n’a que soixante heures pour le prouver.
De ses premières pages pleines de tension à son dénouement fracassant, Le Mari est un thriller qui vous gardera sous son emprise à travers chacun de ses rebondissements, de ses chocs et de ses révélations… jusqu’à ce que vous le refermiez, indubitablement changé. Après tout, c’est un roman de Dean Koontz. Et l’expérience est sans équivalent.
Frédéric Fontès
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