Intriguant le résumé de ce roman à paraitre le 06 avril prochain, aux éditions JC Lattès ... Le roman est traduit du danois par Frédéric Fourreau.
Un tueur sévit à travers le monde, avec des cibles pour le moins singulières : médecins, militants des droits de l’homme, avocats…Tous œuvrent pour le bien. Les meurtres sont d’autant plus étranges qu’une marque représentant une suite de nombres indéfinissables figure chaque fois sur le dos des cadavres. Niels Bentzon, négociateur au sein de la police de Copenhague, reconnu pour son talent mais incompris par ses homologues, est persuadé que c’est au Danemark qu’aura lieu le prochain drame. Mais qui peut être la future victime ?
Aidé par l’astrophysicienne Hannah Lund, Niels va tenter de décrypter les brûlures laissées sur les victimes. Personne ne prend au sérieux ces deux personnages un brin fêlés, pourtant brillants, dont la quête devient de plus en plus impossible. La clé de l’énigme réside dans ces chiffres – mais que signifient-ils ? Qui est le mystérieux assassin et que cherche-t-il à montrer ?
Véritable page-turner, Le Dernier Homme bon combine profondeur psychologique, action et suspense jusqu’au dénouement qui surprendra plus d’un lecteur.
Derrière A. J. Kazinski se cachent Anders Rønnow Klarlund et Jacob Weinreich. Scénariste et réalisateur, Rønnow Klarlund a fait ses débuts d’écrivain avec le roman Les Dévoués. Weinreich, scénariste, écrit des romans depuis une dizaine d’année, dont plusieurs sont destinés à la jeunesse. Le Dernier Homme bon est le fruit d’une première collaboration entre les deux auteurs.
Frédéric Fontès
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