jeudi 29 juillet 2010
Le Cortège de la Mort par Elizabeth George
Le Cortège de la Mort, le nouveau roman d' Elizabeth George, sera disponible le 07 octobre, aux éditions des Presses de la Cité.
Depuis le meurtre de son épouse, l'inspecteur Thomas Lynley n'a pu se résoudre à reprendre son poste à Scotland Yard. Lorsqu'une femme est retrouvée égorgée dans un cimetière du quartier londonien de Stoke Newington, sa remplaçante, Isabelle Ardery, y voit l'occasion rêvée de résoudre une affaire criminelle hautement médiatisée qui pourrait donner de l'élan à sa carrière. Mais, loin de faire l'unanimité au sein de son équipe, elle comprend qu'il lui sera difficile de parvenir à ses fins sans l'aide du très respecté Lynley, et lui demande donc du soutien. Tandis que Thomas Lynley mène son enquête à Londres, Barbara Havers, sa partenaire de toujours, se rend dans le Hampshire, d'où était originaire la victime. Là, au coeur de la réserve naturelle de New Forest, elle va découvrir qu'un autre meurtre brutal a été commis plus de vingt ans auparavant. Il pourrait bien la mettre sur la piste du coupable.
Pour le pré-commander :
Frédéric Fontès
La Chute de Guillermo Del Toro & Chuck Hogan
Le nouvel opus de la Lignée de Guillermo Del Toro & Chuck Hogan, la Chute, sera disponible le 07 octobre prochain, simultanément avec la sortie du premier tome en poche.
Tandis que les vampires envahissent les rues de New York, l'épidémiologiste Ephraïm Goodweather, son fils Zack, Nora, sa collègue et petite amie, Fet le dératiseur et le professeur Sertakian tentent de s'organiser face au chaos. Car partout dans la ville et dans le monde, des émeutes éclatent, des milices se mettent en place et les êtres humains se retrouvent impuissants face à leurs prédateurs, les vampires, pour qui ils ne sont rien d'autre qu'une source de nourriture. Ephraïm saura-t-il protéger Zach de sa mère qui, devenue vampire, veut à tout prix récupérer sa progéniture? Pourra-t-il, à l'aide de ses amis, déjouer le plan diabolique du Maître qui menace de mettre fin à l'humanité?
Pour pré-commander le livre :
Sinon, n'hésitez pas à solliciter votre libraire.
Frédéric Fontès
Tandis que les vampires envahissent les rues de New York, l'épidémiologiste Ephraïm Goodweather, son fils Zack, Nora, sa collègue et petite amie, Fet le dératiseur et le professeur Sertakian tentent de s'organiser face au chaos. Car partout dans la ville et dans le monde, des émeutes éclatent, des milices se mettent en place et les êtres humains se retrouvent impuissants face à leurs prédateurs, les vampires, pour qui ils ne sont rien d'autre qu'une source de nourriture. Ephraïm saura-t-il protéger Zach de sa mère qui, devenue vampire, veut à tout prix récupérer sa progéniture? Pourra-t-il, à l'aide de ses amis, déjouer le plan diabolique du Maître qui menace de mettre fin à l'humanité?
Pour pré-commander le livre :
Sinon, n'hésitez pas à solliciter votre libraire.
Frédéric Fontès
lundi 26 juillet 2010
Box 21 de Anders Roslund et Börge Hellström
Box 21, la suite de la Bête de Anders Roslund et Börge Hellström, sera publié en septembre, toujours aux éditions des Presses de la Cité.
À l’hôpital Söder, à Stockholm, les médecins découvrent, horrifiés, que les blessures de Lydia, une jeune Lituanienne, sont dues à de multiples coups de fouet. Ils lui ont été infligés quand elle s’est rebellée contre le souteneur qui la contraignait à se prostituer. Dans le même établissement, au même moment, le commissaire Ewert Grens et son adjoint Sven Sundkvist surveillent un jeune toxicomane, cible d’un tueur à la solde de la mafia yougoslave, dont le parrain n’est autre que l’ennemi juré de Grens, puisque, à cause de lui, sa femme souffre depuis vingt-cinq ans de graves lésions cérébrales. Animés par un désir de vengeance, Lydia et Grens vont voir leurs histoires se rencontrer.
À l’hôpital Söder, à Stockholm, les médecins découvrent, horrifiés, que les blessures de Lydia, une jeune Lituanienne, sont dues à de multiples coups de fouet. Ils lui ont été infligés quand elle s’est rebellée contre le souteneur qui la contraignait à se prostituer. Dans le même établissement, au même moment, le commissaire Ewert Grens et son adjoint Sven Sundkvist surveillent un jeune toxicomane, cible d’un tueur à la solde de la mafia yougoslave, dont le parrain n’est autre que l’ennemi juré de Grens, puisque, à cause de lui, sa femme souffre depuis vingt-cinq ans de graves lésions cérébrales. Animés par un désir de vengeance, Lydia et Grens vont voir leurs histoires se rencontrer.
Après le choc de La Bête, mettant déjà en scène Grens et Sundkvist, et qui évoquait la pédophilie, Anders Roslund et Börge Hellström plongent ici leurs deux policiers dans l’enfer de la prostitution et du trafic d’êtres humains. Avec force, les auteurs s’attaquent de front, sans voyeurisme mais sans tabou, à un sujet douloureux, terriblement actuel, qu’ils traitent avec une grande empathie.
Frédéric Fontès
samedi 24 juillet 2010
Mémoires gelées de Camilla Ceder
À paraitre en octobre prochain, aux éditions JC-Lattès, le premier roman traduit de Camilla Ceder.
Un matin de décembre, dans une petite ville suédoise, Seja est réveillée par un coup de fil d’Ake Melkersson, son voisin. Ake, sous le choc, lui apprend avoir découvert un homme mort, le bas du corps écrasé par une voiture. Lorsqu’elle l’accompagne sur le lieu du crime, le fragile équilibre qu’elle avait bâti dans sa vie est bouleversé. Seja rencontre l’inspecteur Christian Tell, en charge de l’affaire. Les indices restent minces et les choses se compliquent encore lorsqu’une nouvelle victime est retrouvée, tuée dans les mêmes circonstances. Sans compter le début d’une liaison entre Christian et Seja… Pourtant la jeune femme dissimule des éléments à l’inspecteur, se gardant de lui révéler que certains aspects des meurtres lui rappellent une jeune fille connue des années auparavant. Quel est le lien entre ces meurtres et les événements qui se sont déroulés douze ans plus tôt ? Le passé ressurgit, non sans conséquences pour Seja, pour l’enquête et pour le commissaire Christian Tell lui-même…
Avec une sensibilité extrême, Mémoires gelées décrit l’humanité ordinaire et dessine une Suède loin des sentiers battus, dans laquelle une poignée d’êtres, confrontés à de vieux démons, se trouvent réunis dans le même faisceau d’événements.
Traduit du suédois par Marie-Hélène Archambeaud.
Pour le pré-commander :
Frédéric Fontès
Un matin de décembre, dans une petite ville suédoise, Seja est réveillée par un coup de fil d’Ake Melkersson, son voisin. Ake, sous le choc, lui apprend avoir découvert un homme mort, le bas du corps écrasé par une voiture. Lorsqu’elle l’accompagne sur le lieu du crime, le fragile équilibre qu’elle avait bâti dans sa vie est bouleversé. Seja rencontre l’inspecteur Christian Tell, en charge de l’affaire. Les indices restent minces et les choses se compliquent encore lorsqu’une nouvelle victime est retrouvée, tuée dans les mêmes circonstances. Sans compter le début d’une liaison entre Christian et Seja… Pourtant la jeune femme dissimule des éléments à l’inspecteur, se gardant de lui révéler que certains aspects des meurtres lui rappellent une jeune fille connue des années auparavant. Quel est le lien entre ces meurtres et les événements qui se sont déroulés douze ans plus tôt ? Le passé ressurgit, non sans conséquences pour Seja, pour l’enquête et pour le commissaire Christian Tell lui-même…
Avec une sensibilité extrême, Mémoires gelées décrit l’humanité ordinaire et dessine une Suède loin des sentiers battus, dans laquelle une poignée d’êtres, confrontés à de vieux démons, se trouvent réunis dans le même faisceau d’événements.
Traduit du suédois par Marie-Hélène Archambeaud.
Pour le pré-commander :
Frédéric Fontès
vendredi 16 juillet 2010
La ♪ du soir : Jesus Of Suburbia
Piste 2 de l'album que j'use tellement je l'écoute, c'est un de mes titres préférés. 9 minutes de plaisir, que dire de plus ... Tentez l'aventure si vous ne connaissez pas ou montez le son bien fort si vous êtes déjà fan, c'est ma tournée !
Frédéric Fontès
Les Chemins de moindre résistance de Guillaume Lebeau
Le nouveau roman de Guillaume Lebeau sera disponible en librairie le 16 septembre prochain.
Il y a un écrivain qui veut garder secrète son identité et qui ne tolère aucune intervention de quiconque sur ses manuscrits… Il y a ses éditeurs, prêts à tout pour vendre le plus possible de ses livres, même au pire… Il y a un enfant atteint d'une variété rare de leucémie et qui est un fan intarissable et irréductible de l'écrivain secret. Il y a aussi un laboratoire qui manipule des maladies pour le compte de l'État, il y a donc nécessairement des zones de pouvoir et d'influences... Il y a des volontés et des rêves simples, comme celui de la liberté, ou comme celui de disposer de son propre corps, de sa propre vie. Et il y a un enfant qui veut rencontrer son écrivain préféré. Coûte que coûte.
Par dessus tout, il y a tout ce qu'on ne nous dit pas, tout ce qu'on nous cache. Il y a ceux pour qui le sacrifice se défend, s'explique et se comprend, même. Et il y a surtout une question, une grande question : la littérature peut-elle changer quelque chose au monde?
Pour le pré-commander :
Frédéric Fontès
Il y a un écrivain qui veut garder secrète son identité et qui ne tolère aucune intervention de quiconque sur ses manuscrits… Il y a ses éditeurs, prêts à tout pour vendre le plus possible de ses livres, même au pire… Il y a un enfant atteint d'une variété rare de leucémie et qui est un fan intarissable et irréductible de l'écrivain secret. Il y a aussi un laboratoire qui manipule des maladies pour le compte de l'État, il y a donc nécessairement des zones de pouvoir et d'influences... Il y a des volontés et des rêves simples, comme celui de la liberté, ou comme celui de disposer de son propre corps, de sa propre vie. Et il y a un enfant qui veut rencontrer son écrivain préféré. Coûte que coûte.
Par dessus tout, il y a tout ce qu'on ne nous dit pas, tout ce qu'on nous cache. Il y a ceux pour qui le sacrifice se défend, s'explique et se comprend, même. Et il y a surtout une question, une grande question : la littérature peut-elle changer quelque chose au monde?
Pour le pré-commander :
Frédéric Fontès
mercredi 14 juillet 2010
Sur l'épaule de la nuit de David Lelait
Le nouveau roman de David Lelait sera publié le 04 novembre prochain aux éditions Anne Carrière. Biographe chez Payot d'Eva Peron, Maria Callas, Romy Schneider, Edith Piaf, Dalida et Barbara, il a précédemment publié deux essais, Gay Culture et les Impostures de la célébrité ainsi que Poussière d'homme, toujours chez le même éditeur.
Sous mes cheveux blancs de neige et dans mon corps sec et noué comme l'écorce nue, je suis un paysage d'hiver que le plein soleil a fui, une terre de silence, immobile et stérile. Je suis vieille, plus vieille qu'il n'est d'ordinaire donné de l'être. Je suis née au coucher d'un siècle, ai vécu le long du suivant, et me retirerai au lever du troisième. Mais quand ? C'est long trois siècles... Je m'abîme, m'émiette, sans jamais encore toucher le fin fonds de mes jours. Je dois mourir, il le faut. Que l'on m'aide !
Sur la table de nuit, mon rang de perles enroulé sur lui-même : un serpent luisant, mystérieux. Lui seul connait mon secret.
C'était l'été d'une année de guerre, il y a plus longtemps que quiconque ne peut se souvenir : un amour de vingt-quatre heures qui devait changer ma vie ... Nous n'étions pas dans le monde mais en périphérie du monde, au-dessus, en arrière, en dessous, tout contre mais clairement dissociés de lui. C'est cela que permet l'amour. Une apesanteur.
Je vais vous conter ces vingt-quatre heures, ensuite je m'affacerai du monde. Finalement, j'aurai été éphémère comme l'est la trace de l'eau glacée sur la pierre brûlante.
Ce pourrait être une fable, pourtant c'est la vraie vie, le temps qui s'enfuit et nos amours perdues qu'évoque l'auteur dans ce roman à tiroirs secrets. Une vieille dame qui porte en écharpe le don du bonheur dévoile ici d'étonnantes recettes de vie et nous ouvre des chemins d'espérance.
Le blog de l'auteur : http://david-lelait-helo.blogspot.com
Frédéric Fontès (maj du 27/10/2010)
Sous mes cheveux blancs de neige et dans mon corps sec et noué comme l'écorce nue, je suis un paysage d'hiver que le plein soleil a fui, une terre de silence, immobile et stérile. Je suis vieille, plus vieille qu'il n'est d'ordinaire donné de l'être. Je suis née au coucher d'un siècle, ai vécu le long du suivant, et me retirerai au lever du troisième. Mais quand ? C'est long trois siècles... Je m'abîme, m'émiette, sans jamais encore toucher le fin fonds de mes jours. Je dois mourir, il le faut. Que l'on m'aide !
Sur la table de nuit, mon rang de perles enroulé sur lui-même : un serpent luisant, mystérieux. Lui seul connait mon secret.
C'était l'été d'une année de guerre, il y a plus longtemps que quiconque ne peut se souvenir : un amour de vingt-quatre heures qui devait changer ma vie ... Nous n'étions pas dans le monde mais en périphérie du monde, au-dessus, en arrière, en dessous, tout contre mais clairement dissociés de lui. C'est cela que permet l'amour. Une apesanteur.
Je vais vous conter ces vingt-quatre heures, ensuite je m'affacerai du monde. Finalement, j'aurai été éphémère comme l'est la trace de l'eau glacée sur la pierre brûlante.
Ce pourrait être une fable, pourtant c'est la vraie vie, le temps qui s'enfuit et nos amours perdues qu'évoque l'auteur dans ce roman à tiroirs secrets. Une vieille dame qui porte en écharpe le don du bonheur dévoile ici d'étonnantes recettes de vie et nous ouvre des chemins d'espérance.
Le blog de l'auteur : http://david-lelait-helo.blogspot.com
Frédéric Fontès (maj du 27/10/2010)
La ♪ du soir : Louis Prima & Keely Smith
Je me suis fais ce petit plaisir il y a quelques mois de ça déjà, je me régal. Un petit coffret trois cd que je ne me lasse pas d'écouter régulièrement ... Frédéric Fontès
mardi 13 juillet 2010
United Victims par Elsebeth Egholm
Le premier roman traduit en français d'une série mettant en scène Dicte Svendsen et qui, dès sa parution, a figuré en tête des listes de best-sellers au Danemark, en Suède et en Norvège. Århus, Jutland de l'Est. Dans un pays secoué par une vague de panique liée aux alertes à la bombe et aux révoltes dans les banlieues, Dicte Svendsen, journaliste, reçoit par la poste un film adressé à son attention de manière anonyme. Dès l'instant où les images se mettent à défiler sur son écran, elle sait que sa vie ne sera plus jamais la même. Ce qu'elle voit n'est rien d'autre que la décapitation bestiale d'un homme au corps ligoté, opérée au moyen d'un sabre par un personnage recouvert d'un drap noir, ne laissant apparaître que deux fentes à l'emplacement des yeux. Le terrorisme islamique est-il arrivé au Danemark ? Pourquoi ce document lui est-il adressé personnellement plutôt qu'à des médias de plus grande audience ? Et surtout, pour quelle raison ces images font-elles ressurgir de manière si violente un passé qu'elle n'avait cessé de refouler ? Alors que l'inspecteur de la brigade criminelle John Wagner a pour mission de résoudre cette affaire, Dicte réalise qu'elle est confrontée à une enquête qu'elle seule est capable de mener à bien, au prix d'un traumatisme personnel, cependant que sa fille Rose mène de son côté un combat dangereux pour la survie du couple qu'elle entend former avec Aziz, lui-même menacé par le milieu immigré. Meurtre, viol, pédophilie, inceste, agressions, vengeance, racisme, peine de mort... le mal tisse sa toile autour de Dicte Svendsen. Sortira-t-elle indemne de ce piège mortel ? L'auteur Elsebeth Egholm figure parmi les écrivains actuels les plus populaires du Danemark, ses livres apparaissant régulièrement au top 5 des classements littéraires. Ses romans policiers sont déjà traduits en allemand, en suédois et en norvégien. Une série télévisée, actuellement en cours de tournage, est prévue pour une diffusion en 2010. | ||||
Le roman, traduit du danois par Didier Halpern, sera disponible le 16 septembre aux éditions du Cherche Midi. | ||||
Pour le pré-commander : | ||||
Frédéric Fontès | ||||
lundi 12 juillet 2010
Écho par Ingrid Desjours : la chronique
Mon avis sur PP : Une héroïne séduisante, attachante, envoûtante et parfois venimeuse, une romancière dont l'image vient forcément se superposer sur celle de Garance, comme un écho et un premier roman au style maîtrisé comblent ma lecture. Je n'ai désormais qu'une envie : me ruer sur Potens pour retrouver ces personnages.
Nous n'avons pas tous les jours l'occasion de tomber sous le charme d'une héroïne de roman. Et c'est amusant de lui trouver autant de points communs avec Ingrid Desjours, la créatrice du personnage. Certainement là la clef de l'envoûtement qui s'opère pendant la lecture d'Écho.
La vidéo d'une conférence où la romancière décryptait les grandes lignes de ses anciennes fonctions de psychologue spécialisée en sexocriminologie donnait le ton. Un phrasé particulier, une voix qui capte l'attention, une gestuelle qui sert de ponctuation, tout est là : Ingrid Desjours ne laisse pas son auditoire indifférent. Bien plus tard, une nouvelle occasion nous est donnée de voir s'exprimer la romancière en visionnant l'émission le Journal de la Santé sur France 5 où elle est invitée à parler de son nouveau roman Potens, la suite d'Écho. Le sourire malicieux et le regard pétillant de la romancière sont à l'œuvre.
La cerise sur le gâteau prend la forme de deux rencontres avec Ingrid Desjours, la première aux Blancs-Manteaux, la seconde le lendemain au salon des livres en format poche de Saint Maur. L'occasion pour moi de constater que le filtre de mon écran tv n'a rien déformé : sourires et espiègleries sont toujours au rendez-vous!
Avec cette petite introduction, on s'éloigne un peu du sujet de la chronique, mais pas tant que ça... Même si l'on sait que Garance Hermosa est un personnage fictif, on ne peut s'empêcher de la considérer comme une sorte d'avatar littéraire d'Ingrid Desjours. Il n'y a certainement que ses proches qui connaissent le pourcentage de points communs qui existe entre les deux. Mais au final, on s'en fiche!
L'important, c'est de constater l'efficacité avec laquelle Garance captive l'attention de son lecteur. C'est là qu'il devient intéressant d'analyser le phénomène qui se produit : rencontrer la romancière avant de découvrir son héroïne m'aura permis de voir de mes propres yeux certains détails qui donnent corps au personnage.
On peut dire que Garance est l'écho d'Ingrid. Ces deux femmes là ne sont ni tout à fait identiques, ni tout à fait différentes. Une déformation professionnel en quelque sorte ...
Pour ce qui est de l'identification à l'héroïne, c'est le carton plein. Mais qu'en est-il de l'histoire ? Et bien là aussi, la romancière relève haut la main le challenge du premier roman, tant elle semble maîtriser son art d'un bout à l'autre. Ingrid Desjours prend plaisir à écrire et ça se voit.
Elle joue avec ses narrateurs : régulièrement dans le roman, nous avons l'occasion de voir s'enchaîner les pensées intérieures d'un personnage principal à l'autre, un peu comme dans une case de BD. Et pour le lecteur, c'est une bien belle manière pour lui de comprendre les mini rivalités ou la connivence qui opèrent.
Garance joue avec son auditoire comme le fait Ingrid avec ses lecteurs. C'est toujours passionnant quand un auteur nous explique les rouages de la psychologie, en nous montrant de quelle manière sont piégés les personnages et donc, de quelle manière sont piégés les lecteurs. Deux faces d'une même pièce pour mener à bien l'écriture du parfait thriller.
Un autre élément complète le portrait de cette héroïne sucrée-salée, c'est son côté James Bond. Pas pour la référence au métier d'espion. Mais pour le côté charmeur et prédateur sexuel jouant souvent avec le feu et qui mélange allègrement travail et vie privée. Pour son look et pour son mordant : oui, Garance ferait une superbe James Bond Girl, vous ne trouvez pas ?
Potens est à portée de mains pour les semaines à venir, avec ce proverbe en tête :
Et au fait, vous voyez quoi sur cette couverture ? On dirait la main d'un marionnettiste ou un ruban de tissu qui s'enroule autour d'une tringle ...
Pour commander le livre, cliquez ici :
Frédéric Fontès
Nous n'avons pas tous les jours l'occasion de tomber sous le charme d'une héroïne de roman. Et c'est amusant de lui trouver autant de points communs avec Ingrid Desjours, la créatrice du personnage. Certainement là la clef de l'envoûtement qui s'opère pendant la lecture d'Écho.
La vidéo d'une conférence où la romancière décryptait les grandes lignes de ses anciennes fonctions de psychologue spécialisée en sexocriminologie donnait le ton. Un phrasé particulier, une voix qui capte l'attention, une gestuelle qui sert de ponctuation, tout est là : Ingrid Desjours ne laisse pas son auditoire indifférent. Bien plus tard, une nouvelle occasion nous est donnée de voir s'exprimer la romancière en visionnant l'émission le Journal de la Santé sur France 5 où elle est invitée à parler de son nouveau roman Potens, la suite d'Écho. Le sourire malicieux et le regard pétillant de la romancière sont à l'œuvre.
La cerise sur le gâteau prend la forme de deux rencontres avec Ingrid Desjours, la première aux Blancs-Manteaux, la seconde le lendemain au salon des livres en format poche de Saint Maur. L'occasion pour moi de constater que le filtre de mon écran tv n'a rien déformé : sourires et espiègleries sont toujours au rendez-vous!
Avec cette petite introduction, on s'éloigne un peu du sujet de la chronique, mais pas tant que ça... Même si l'on sait que Garance Hermosa est un personnage fictif, on ne peut s'empêcher de la considérer comme une sorte d'avatar littéraire d'Ingrid Desjours. Il n'y a certainement que ses proches qui connaissent le pourcentage de points communs qui existe entre les deux. Mais au final, on s'en fiche!
L'important, c'est de constater l'efficacité avec laquelle Garance captive l'attention de son lecteur. C'est là qu'il devient intéressant d'analyser le phénomène qui se produit : rencontrer la romancière avant de découvrir son héroïne m'aura permis de voir de mes propres yeux certains détails qui donnent corps au personnage.
On peut dire que Garance est l'écho d'Ingrid. Ces deux femmes là ne sont ni tout à fait identiques, ni tout à fait différentes. Une déformation professionnel en quelque sorte ...
Pour ce qui est de l'identification à l'héroïne, c'est le carton plein. Mais qu'en est-il de l'histoire ? Et bien là aussi, la romancière relève haut la main le challenge du premier roman, tant elle semble maîtriser son art d'un bout à l'autre. Ingrid Desjours prend plaisir à écrire et ça se voit.
Elle joue avec ses narrateurs : régulièrement dans le roman, nous avons l'occasion de voir s'enchaîner les pensées intérieures d'un personnage principal à l'autre, un peu comme dans une case de BD. Et pour le lecteur, c'est une bien belle manière pour lui de comprendre les mini rivalités ou la connivence qui opèrent.
Garance joue avec son auditoire comme le fait Ingrid avec ses lecteurs. C'est toujours passionnant quand un auteur nous explique les rouages de la psychologie, en nous montrant de quelle manière sont piégés les personnages et donc, de quelle manière sont piégés les lecteurs. Deux faces d'une même pièce pour mener à bien l'écriture du parfait thriller.
Un autre élément complète le portrait de cette héroïne sucrée-salée, c'est son côté James Bond. Pas pour la référence au métier d'espion. Mais pour le côté charmeur et prédateur sexuel jouant souvent avec le feu et qui mélange allègrement travail et vie privée. Pour son look et pour son mordant : oui, Garance ferait une superbe James Bond Girl, vous ne trouvez pas ?
Potens est à portée de mains pour les semaines à venir, avec ce proverbe en tête :
«Comment mange t-on une baleine ? Bouchée après bouchée ...»
Et au fait, vous voyez quoi sur cette couverture ? On dirait la main d'un marionnettiste ou un ruban de tissu qui s'enroule autour d'une tringle ...
Pour commander le livre, cliquez ici :
Frédéric Fontès
dimanche 11 juillet 2010
Alchimie de Beth Fantaskey
Pour Jill Jekel et Tristan Hyde, descendants du célèbre Dr Jekyll et de son alter ego Mr. Hyde, l’amour n’est qu’une question d’alchimie…
Depuis l’entrée de Tristan Hyde dans le même collège que Jill Jekel en Pennsylvanie, leurs noms de famille font l’objet de toutes les plaisanteries. En effet, ils rappellent vaguement quelqu’un… Et tous deux ont de bonnes raisons de ne pas rire de ces moqueries. Le père de Jill a toujours cru que sa famille était liée au Dr Henry Jekyll, ce scientifique qui a créé son alter ego maléfique. D’ailleurs, il affirme que la boîte fermée à double tour dans son bureau contient le détail de cette expérience diabolique. Quant à Tristan, ses liens avec l’histoire de Mr. Hyde sont encore plus proches, et plus dévastateurs. Jill sait qu’elle ne doit pas ouvrir cette boîte. Mais quand son père est assassiné, et qu’elle découvre que le compte en banque qui devait payer ses études a été vidé, elle n’hésite plus. Si elle parvient à recréer l’élixir du Dr Jekyll, elle obtiendra sans doute la bourse qui lui permettra d’entrer dans un des meilleurs programmes de chimie des États-Unis. Tristan accepte de l’aider, espérant sauver sa raison et peut-être même sa vie. Si l’on en croit la légende familiale, il est le descendant direct du monstre, ce qui le condamne à perpétrer la violence et le chaos autour de lui. Pourront-ils échapper à leur destin et éviter que l’amour qui les étreint peu à peu ne conduise à leur propre destruction ?
Le livre, traduit de l’anglais (États-Unis) par Nathalie Perronny, sera disponible le 08 septembre.
Pour pré-commander le roman, cliquez ici :
Frédéric Fontès
Depuis l’entrée de Tristan Hyde dans le même collège que Jill Jekel en Pennsylvanie, leurs noms de famille font l’objet de toutes les plaisanteries. En effet, ils rappellent vaguement quelqu’un… Et tous deux ont de bonnes raisons de ne pas rire de ces moqueries. Le père de Jill a toujours cru que sa famille était liée au Dr Henry Jekyll, ce scientifique qui a créé son alter ego maléfique. D’ailleurs, il affirme que la boîte fermée à double tour dans son bureau contient le détail de cette expérience diabolique. Quant à Tristan, ses liens avec l’histoire de Mr. Hyde sont encore plus proches, et plus dévastateurs. Jill sait qu’elle ne doit pas ouvrir cette boîte. Mais quand son père est assassiné, et qu’elle découvre que le compte en banque qui devait payer ses études a été vidé, elle n’hésite plus. Si elle parvient à recréer l’élixir du Dr Jekyll, elle obtiendra sans doute la bourse qui lui permettra d’entrer dans un des meilleurs programmes de chimie des États-Unis. Tristan accepte de l’aider, espérant sauver sa raison et peut-être même sa vie. Si l’on en croit la légende familiale, il est le descendant direct du monstre, ce qui le condamne à perpétrer la violence et le chaos autour de lui. Pourront-ils échapper à leur destin et éviter que l’amour qui les étreint peu à peu ne conduise à leur propre destruction ?
Le livre, traduit de l’anglais (États-Unis) par Nathalie Perronny, sera disponible le 08 septembre.
Pour pré-commander le roman, cliquez ici :
Frédéric Fontès
Chronique : La Guerre des vanités de Marin Ledun (Gallimard)
Oppressant et pessimiste. Le nouveau roman de Marin Ledun a l'urgence de l'appel de la première cigarette entre les lèvres du fumeur. La première bouffée vous enivre, vous fait tourner la tête et au final, vous laisse ce drôle de goût en bouche. Dans la parfaite lignée des autres romans de l'auteur, Modus Operandi et Marketing Viral, pour ne citer que ces deux là.
Les vies tranchées dans le vif se regardent en chiens de faïence.
On se retrouve à la fois soulagé et triste de terminer la Guerre des Vanités. Soulagé d'échapper à cette cocotte minute qu'est finalement le roman et la ville de Tournon. Triste pour ces personnages, pour ces deuils et pour cette plume de l'auteur qui nous manque déjà.
La Guerre des vanités a beaucoup de point commun avec Modus Operandi. Darrieux et Korvine semblent être deux entités semblables. La consommation excessive d'alcool pour l'un et de tabac pour l'autre, sont une nourriture essentielle aux deux personnages qui se consument. Et ce qu'il en reste dans les cendres qui noircissent les pages de leurs aventures, c'est leur humanité. Ils n'ont plus rien à perdre, et sont simplement armés de leur simple volonté de trouver la réponse, coûte que coûte.
Voici ce que je disais au sujet de Darrieux dans Modus Operandi et qui colle aussi bien à Korvine :
Aurions-nous là les débuts d'une série consacrée aux addictions ? Après l'alcool, le tabac, l'auteur confrontera-t-il à son prochain personnage un autre désir compulsif du genre ? L'amour ? On remarquera qu'une nouvelle fois, une femme laisse une empreinte importante dans le roman, tant dans l'histoire que dans la psychologie du personnage principal.
Un autre point commun dans le style cette fois, c'est avec Marketing Viral. Marin Ledun donne corps à son personnage et s'efface pour raconter simplement son histoire. Méticuleusement, patiemment et sans dénouement extraordinaire, il amène Korvine vers la révélation finale, en enchaînant avec régularité des chapitres linéaires mais terriblement oppressants. Une semaine d'enquête où l'on suit pas à pas les progrès de l'enquêteur. Seul éclat qu'il s'octroie, le claquement des mains de Korvine sur une table pour faire parler quelques témoins et en parallèle de cela, les mots qu'il pense, qu'il répète et qui claquent dans son esprit de la même manière. Comme un mantra pour sortir de la torpeur, pour sortir de ce cauchemar et rester éveillé.
La Guerre des Vanités, c'est donc l'histoire d'insomnies et de jeûnes. C'est un drôle de parallèle à faire finalement : le personnage principal ne peut s'empêcher de prendre sa dose de nicotine mais on le surprend rarement en train de dormir ou de se nourrir. L'obsession de fumer est aussi forte que celle de connaître la vérité, et tant pis pour les conséquences.
C'est aussi l'histoire d'un cancer qui gangrène une ville et un être. L'injection d'un corps étranger, d'un électron libre dans un organisme sur le point d'imploser. Une sorte de virus qui sera le remède, un mal pour un bien.
Un roman tout aussi surprenant que l'ont été les précédents, avec un ton anodin qui aspire le lecteur vers la 412e page. Et comme le fumeur qui vient de terminer la dernière clope de son paquet, on est déjà en quête du prochain roman de l'auteur et de notre nouvelle dose.
Frédéric Fontès
On se retrouve à la fois soulagé et triste de terminer la Guerre des Vanités. Soulagé d'échapper à cette cocotte minute qu'est finalement le roman et la ville de Tournon. Triste pour ces personnages, pour ces deuils et pour cette plume de l'auteur qui nous manque déjà.
La Guerre des vanités a beaucoup de point commun avec Modus Operandi. Darrieux et Korvine semblent être deux entités semblables. La consommation excessive d'alcool pour l'un et de tabac pour l'autre, sont une nourriture essentielle aux deux personnages qui se consument. Et ce qu'il en reste dans les cendres qui noircissent les pages de leurs aventures, c'est leur humanité. Ils n'ont plus rien à perdre, et sont simplement armés de leur simple volonté de trouver la réponse, coûte que coûte.
Voici ce que je disais au sujet de Darrieux dans Modus Operandi et qui colle aussi bien à Korvine :
Citation: |
En opposition avec ce dernier qui se tue à petit feu, qui se détruit de l’intérieur. Il attise un feu permanent qui brûle en lui depuis de longues années. Il vit en permanence avec cette sensation de brûlure qui lui mord les viscères et lui grignote le cerveau. Il est une sorte de mort-vivant qui a oublié pourquoi il s’agrippe toujours autant à la vie. C’est le survivant de son monde dévasté. Il ne veut plus « revivre » mais il s’empêche de mourir. Il s’invente un « devenir » mais à cesser d’être. |
Aurions-nous là les débuts d'une série consacrée aux addictions ? Après l'alcool, le tabac, l'auteur confrontera-t-il à son prochain personnage un autre désir compulsif du genre ? L'amour ? On remarquera qu'une nouvelle fois, une femme laisse une empreinte importante dans le roman, tant dans l'histoire que dans la psychologie du personnage principal.
Un autre point commun dans le style cette fois, c'est avec Marketing Viral. Marin Ledun donne corps à son personnage et s'efface pour raconter simplement son histoire. Méticuleusement, patiemment et sans dénouement extraordinaire, il amène Korvine vers la révélation finale, en enchaînant avec régularité des chapitres linéaires mais terriblement oppressants. Une semaine d'enquête où l'on suit pas à pas les progrès de l'enquêteur. Seul éclat qu'il s'octroie, le claquement des mains de Korvine sur une table pour faire parler quelques témoins et en parallèle de cela, les mots qu'il pense, qu'il répète et qui claquent dans son esprit de la même manière. Comme un mantra pour sortir de la torpeur, pour sortir de ce cauchemar et rester éveillé.
La Guerre des Vanités, c'est donc l'histoire d'insomnies et de jeûnes. C'est un drôle de parallèle à faire finalement : le personnage principal ne peut s'empêcher de prendre sa dose de nicotine mais on le surprend rarement en train de dormir ou de se nourrir. L'obsession de fumer est aussi forte que celle de connaître la vérité, et tant pis pour les conséquences.
C'est aussi l'histoire d'un cancer qui gangrène une ville et un être. L'injection d'un corps étranger, d'un électron libre dans un organisme sur le point d'imploser. Une sorte de virus qui sera le remède, un mal pour un bien.
Un roman tout aussi surprenant que l'ont été les précédents, avec un ton anodin qui aspire le lecteur vers la 412e page. Et comme le fumeur qui vient de terminer la dernière clope de son paquet, on est déjà en quête du prochain roman de l'auteur et de notre nouvelle dose.
Frédéric Fontès
Sans un adieu de Harlan Coben
C'est le 07 octobre prochain que paraitra une nouvelle traduction d'un roman d'Harlan Coben, aux éditions Belfond.
Il s'agit de l'adaptation de son premier roman, Play Dead, inédit en France.
Premier roman inédit d'un des maîtres du thriller. Laura et David forment un couple célèbre et amoureux. Pour protéger leur lune de miel, ils partent en Australie mais quelques heures plus tard David disparaît. Son remplacement rapide dans son équipe de basket, par un inconnu au jeu identique au sien intrigue sa femme qui décide de mener l'enquête.
Il s'agit de l'adaptation de son premier roman, Play Dead, inédit en France.
Premier roman inédit d'un des maîtres du thriller. Laura et David forment un couple célèbre et amoureux. Pour protéger leur lune de miel, ils partent en Australie mais quelques heures plus tard David disparaît. Son remplacement rapide dans son équipe de basket, par un inconnu au jeu identique au sien intrigue sa femme qui décide de mener l'enquête.
Frédéric Fontès
PS : un petit reproche aux éditions Belfond qui risquent d'embrouiller leurs lecteurs français, avec des titres qui se ressemblent beaucoup et qui manquent cruellement d'originalité. On a donc: Sans un mot (un one-shot), Sans laisser d'adresse (un Bolytar) et Sans un adieu (un autre one-shot). Difficile de donner son identité propre à chacun de ses romans avec des titres aussi proches ...
vendredi 9 juillet 2010
Les Furies de l'Academ de Jim Butcher
Le tome 2 de la série le Codex Aléra de Jim Butcher sera publié le 16 juillet, aux éditions Bragelonne. Les Furies de l'Academ est traduit par Caroline Nicolas.
Frédéric Fontès
Frédéric Fontès
mercredi 7 juillet 2010
Le Credo de la violence de Boston Teran
Le nouveau roman de Boston Teran sera disponible le 25 août prochain aux éditions du Masque. Il sera traduit par Frank Reichert.
Fils d’une pute et d’un client de passage, Rawbone est un criminel au casier bien rempli. Au début du livre, en 1910, alors que l’écho de la révolution mexicaine enflamme la frontière du Texas, il s’empare d’un camion chargé d’armes qu’il décide de vendre au plus offrant. Mais arrêté par les Américains, il accepte, en échange de son immunité, de l’acheminer jusqu’aux puits de pétrole mexicains, sous la garde de l’agent Lourdes du BOI, ancêtre du FBI. Or Lourdes est le fils qu’il a abandonné à sa naissance. Lourdes le sait, mais pas Rawbone. L’expédition sera chaude, ambiance western, avec poursuites et attaques de bandes armées, et en toile de fond le complot américain. Teran revisite un de ses thèmes favoris, la relation père-fils, et son thème fétiche, l’intervention américaine en pays étranger pour des raisons économiques : « les Etats-Unis sont le monde. Et les sociétés américaines, avec les anglaises, contrôlent presque toute la richesse générée par le pétrole et les mines du Mexique. »
Pour le pré-commander en ligne :
Sinon, n'hésitez pas à solliciter votre libraire.
Frédéric Fontès
Fils d’une pute et d’un client de passage, Rawbone est un criminel au casier bien rempli. Au début du livre, en 1910, alors que l’écho de la révolution mexicaine enflamme la frontière du Texas, il s’empare d’un camion chargé d’armes qu’il décide de vendre au plus offrant. Mais arrêté par les Américains, il accepte, en échange de son immunité, de l’acheminer jusqu’aux puits de pétrole mexicains, sous la garde de l’agent Lourdes du BOI, ancêtre du FBI. Or Lourdes est le fils qu’il a abandonné à sa naissance. Lourdes le sait, mais pas Rawbone. L’expédition sera chaude, ambiance western, avec poursuites et attaques de bandes armées, et en toile de fond le complot américain. Teran revisite un de ses thèmes favoris, la relation père-fils, et son thème fétiche, l’intervention américaine en pays étranger pour des raisons économiques : « les Etats-Unis sont le monde. Et les sociétés américaines, avec les anglaises, contrôlent presque toute la richesse générée par le pétrole et les mines du Mexique. »
Pour le pré-commander en ligne :
Sinon, n'hésitez pas à solliciter votre libraire.
Frédéric Fontès
Laisse moi entrer de John Ajvide Lindqvist
C'est une de mes lectures du moment. Une adaptation ciné existe en vidéo, Morse. Et un remake américain va bientôt être disponible, Let Me In.
Présentation de l'éditeur
" - Oskar... Cela provenait de la fenêtre. Il ouvrit les yeux et regarda dans cette direction. Il vit les contours d'un petit visage de l'autre côté de la vitre. Il écarta ses couvertures mais avant qu'il ait eu le temps de sortir de son lit, Eli murmura : - Attends. Reste dans ton lit. Est-ce que je peux entrer ? Oskar chuchota : - Oui. - Dis que je peux entrer. - Tu peux entrer. " Oskar a 12 ans, il vit seul avec sa mère au cœur d'une banlieue glacée de Stockholm. Il est martyrisé par trois adolescents de son collège. Eli emménagé un soir dans l'appartement voisin. Un homme l'accompagnait. Elle sort le soir, semble ne craindre ni le froid ni la neige et exhale une odeur douceâtre et indéfinissable. Une magnifique et sanglante histoire d'amour et d'amitié entre deux êtres désespérément seuls et différents.
Biographie de l'auteur
John Ajvide Lindqvist, prestidigitateur et ancien comédien de stand-up pendant douze ans, est devenu par surprise en 2004 avec ce premier roman, l'auteur d'un des plus gros best-sellers en Suède tous genres confondus.
Pour vous procurer le roman et le dvd, cliquez ci-dessous :
Présentation de l'éditeur
" - Oskar... Cela provenait de la fenêtre. Il ouvrit les yeux et regarda dans cette direction. Il vit les contours d'un petit visage de l'autre côté de la vitre. Il écarta ses couvertures mais avant qu'il ait eu le temps de sortir de son lit, Eli murmura : - Attends. Reste dans ton lit. Est-ce que je peux entrer ? Oskar chuchota : - Oui. - Dis que je peux entrer. - Tu peux entrer. " Oskar a 12 ans, il vit seul avec sa mère au cœur d'une banlieue glacée de Stockholm. Il est martyrisé par trois adolescents de son collège. Eli emménagé un soir dans l'appartement voisin. Un homme l'accompagnait. Elle sort le soir, semble ne craindre ni le froid ni la neige et exhale une odeur douceâtre et indéfinissable. Une magnifique et sanglante histoire d'amour et d'amitié entre deux êtres désespérément seuls et différents.
Biographie de l'auteur
John Ajvide Lindqvist, prestidigitateur et ancien comédien de stand-up pendant douze ans, est devenu par surprise en 2004 avec ce premier roman, l'auteur d'un des plus gros best-sellers en Suède tous genres confondus.
Pour vous procurer le roman et le dvd, cliquez ci-dessous :
mardi 6 juillet 2010
Un Meurtre gratuit de David Levien
C'est la suite de la Cabane des Disparus, publié en 2009 par le même éditeur.
Une aube bien sombre se lève sur Indianapolis. Un ami de Frank Behr a été descendu dans une salle de sport d’un coup de fusil sous le palais. Sans doute une exécution. Décidé à en avoir le cœur net, l’ex-flic part seul à la recherche des coupables. Mais avant qu’il ait pu avancer dans son enquête, le chef de la police – l’ancien patron de Frank – sollicite son concours pour élucider la disparition de deux détectives privés, employés d’une agence très discrète. À la clé, pour Frank, la perspective de reprendre sa place au sein de la brigade. Renouant avec la faune des bas-fonds d’Indianapolis, Behr s’aventure dans les arcanes du crime organisé et les cercles de jeux clandestins. Contre toute attente, il va découvrir que les deux affaires sont liées…
Pré-commandez le en cliquant ci-contre :
Frédéric Fontès
Une aube bien sombre se lève sur Indianapolis. Un ami de Frank Behr a été descendu dans une salle de sport d’un coup de fusil sous le palais. Sans doute une exécution. Décidé à en avoir le cœur net, l’ex-flic part seul à la recherche des coupables. Mais avant qu’il ait pu avancer dans son enquête, le chef de la police – l’ancien patron de Frank – sollicite son concours pour élucider la disparition de deux détectives privés, employés d’une agence très discrète. À la clé, pour Frank, la perspective de reprendre sa place au sein de la brigade. Renouant avec la faune des bas-fonds d’Indianapolis, Behr s’aventure dans les arcanes du crime organisé et les cercles de jeux clandestins. Contre toute attente, il va découvrir que les deux affaires sont liées…
Pré-commandez le en cliquant ci-contre :
Frédéric Fontès
La Cabane des disparus de David Levien
La Cabane des disparus de David Levien est paru en octobre dernier. C'est l'adaptation de City of the Sun, premier tome d'une série récurrente consacrée au détective privé Frank Behr. Le second tome, Un Meurtre gratuit, sera disponible en octobre prochain, aux éditions Calmann-Lévy.
Frank Behr, ancien flic usé par ses propres démons, accepte d’enquêter sur un jeune garçon disparu depuis plus d’un an. Ce matin-là, comme tous les matins, Jamie Gabriel s’est levé très tôt, il a enfourché sa bicyclette et est parti livrer les journaux dans la petite banlieue cossue d’Indianapolis. Il n’a que douze ans, mais c’est un excellent moyen pour lui de gagner un peu d’argent de poche. Seulement, ce matin d’octobre, Jamie n’est jamais revenu chez lui. On a retrouvé son vélo abandonné au bord de la route, mais aucune trace d’agression, aucun indice. La police a enquêté, en vain…. Quatorze mois plus tard, Paul et Carol Gabriel sont sur le point d’abandonner tout espoir de revoir leur fils vivant. Épuisés par une succession de fausses pistes, découragés par une police incapable ou indifférente, ils se tournent finalement vers un détective privé. C’est leur dernière chance de retrouver leur fils et de sauver leur couple, miné par l’angoisse, le doute, la peur. Frank Behr est un homme assez étrange, un ancien flic qui dans un premier temps refuse de les aider : il sait trop bien que les chances de retrouver le garçon sont pratiquement inexistantes. Mais le désespoir de Paul l’émeut et réveille chez le vieux flic des démons qu’il croyait endormis pour toujours. Réunis par une quête secrète commune, le père au bout du rouleau et le flic cynique vont former une drôle d’équipe pour connaître la vérité sur ce qui est arrivé à Jamie ce matin d’octobre. Quel que soit le prix à payer…
Voici ce que j'en disais à l'époque de sa sortie :
Le faux rythme du début peut surprendre mais le héros devient très vite sympathique. Sa pugnacité éveille notre curiosité, dans cette enquête qui s'annonce difficile. C'est sans prétention, ça suit son bonhomme de chemin, ça reste très humain. Frank Behr est un personnage très attachant et David Levien rend une bonne copie. Rien d'extra-ordinairement original dans la trame plutôt classique mais on éprouve vite de la sympathie pour ces personnages. C'est rafraichissant parfois, des thrillers sans giclée de sang à la gueule, c'est assez linéaire, sans d'énormes rebondissements en cours de l'enquête. Juste un mec opiniâtre qui avance et qui est un as dans sa partie. Du coup, les pages se tournent très vite et on espère avoir l'occasion de retrouver Behr pour une nouvelle enquête.
Dans le genre ancien flic méthodique, ça me rappelle l'excellent Chicago Way de Michael Harvey, dont la suite vient de sortir chez Fleuve Noir.
Pour commander le livre, cliquez ci-contre :
Frédéric Fontès
Frank Behr, ancien flic usé par ses propres démons, accepte d’enquêter sur un jeune garçon disparu depuis plus d’un an. Ce matin-là, comme tous les matins, Jamie Gabriel s’est levé très tôt, il a enfourché sa bicyclette et est parti livrer les journaux dans la petite banlieue cossue d’Indianapolis. Il n’a que douze ans, mais c’est un excellent moyen pour lui de gagner un peu d’argent de poche. Seulement, ce matin d’octobre, Jamie n’est jamais revenu chez lui. On a retrouvé son vélo abandonné au bord de la route, mais aucune trace d’agression, aucun indice. La police a enquêté, en vain…. Quatorze mois plus tard, Paul et Carol Gabriel sont sur le point d’abandonner tout espoir de revoir leur fils vivant. Épuisés par une succession de fausses pistes, découragés par une police incapable ou indifférente, ils se tournent finalement vers un détective privé. C’est leur dernière chance de retrouver leur fils et de sauver leur couple, miné par l’angoisse, le doute, la peur. Frank Behr est un homme assez étrange, un ancien flic qui dans un premier temps refuse de les aider : il sait trop bien que les chances de retrouver le garçon sont pratiquement inexistantes. Mais le désespoir de Paul l’émeut et réveille chez le vieux flic des démons qu’il croyait endormis pour toujours. Réunis par une quête secrète commune, le père au bout du rouleau et le flic cynique vont former une drôle d’équipe pour connaître la vérité sur ce qui est arrivé à Jamie ce matin d’octobre. Quel que soit le prix à payer…
Voici ce que j'en disais à l'époque de sa sortie :
Le faux rythme du début peut surprendre mais le héros devient très vite sympathique. Sa pugnacité éveille notre curiosité, dans cette enquête qui s'annonce difficile. C'est sans prétention, ça suit son bonhomme de chemin, ça reste très humain. Frank Behr est un personnage très attachant et David Levien rend une bonne copie. Rien d'extra-ordinairement original dans la trame plutôt classique mais on éprouve vite de la sympathie pour ces personnages. C'est rafraichissant parfois, des thrillers sans giclée de sang à la gueule, c'est assez linéaire, sans d'énormes rebondissements en cours de l'enquête. Juste un mec opiniâtre qui avance et qui est un as dans sa partie. Du coup, les pages se tournent très vite et on espère avoir l'occasion de retrouver Behr pour une nouvelle enquête.
Dans le genre ancien flic méthodique, ça me rappelle l'excellent Chicago Way de Michael Harvey, dont la suite vient de sortir chez Fleuve Noir.
Pour commander le livre, cliquez ci-contre :
Frédéric Fontès
lundi 5 juillet 2010
L'Évangile des Ténèbres de Jean-Luc Bizien
Le prochain roman de Jean-Luc Bizien sera disponible le 06 octobre aux éditions Toucan.
LE DERNIER PAYS OÙ LE PIRE N’EST PAS IMAGINABLE…
Pyongyang, Corée du Nord
Seth Ballahan, rédacteur en chef d’un quotidien américain, apprend que Michaël Wong, l’un de ses collaborateurs, est piégé en Corée du Nord. Face à l’absence de réaction de sa hiérarchie, Ballahan voit rouge. Contre vents et marées, il décide de secourir le jeune Wong.
Dans Pyongyang, la capitale fantôme où les hommes ne sont que des ombres, il cherche de l’aide auprès de Suzan, ravissante correspondante d’une O.N.G. canadienne.
C’est alors que le Mal absolu surgit : un tueur monstrueux laisse dans son sillage une longue suite de cadavres atrocement mutilés.
Paik Dong-Soo, brillant militaire nord-coréen, se lance sur ses traces.
Ils se retrouveront tous, à l’issue d’un parcours halluciné, en un lieu oublié.
Celui qu’annonce l’Évangile des ténèbres…
Source : forum.plume-libre et le facebook de l'auteur.
Pour pré-commander le livre, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
LE DERNIER PAYS OÙ LE PIRE N’EST PAS IMAGINABLE…
Pyongyang, Corée du Nord
Seth Ballahan, rédacteur en chef d’un quotidien américain, apprend que Michaël Wong, l’un de ses collaborateurs, est piégé en Corée du Nord. Face à l’absence de réaction de sa hiérarchie, Ballahan voit rouge. Contre vents et marées, il décide de secourir le jeune Wong.
Dans Pyongyang, la capitale fantôme où les hommes ne sont que des ombres, il cherche de l’aide auprès de Suzan, ravissante correspondante d’une O.N.G. canadienne.
C’est alors que le Mal absolu surgit : un tueur monstrueux laisse dans son sillage une longue suite de cadavres atrocement mutilés.
Paik Dong-Soo, brillant militaire nord-coréen, se lance sur ses traces.
Ils se retrouveront tous, à l’issue d’un parcours halluciné, en un lieu oublié.
Celui qu’annonce l’Évangile des ténèbres…
Source : forum.plume-libre et le facebook de l'auteur.
Pour pré-commander le livre, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
Artères Souterraines de Warren Ellis
Crooked Little Vein, le premier roman du célèbre scénariste de comic books Warren Ellis, va être publier en France en aout prochain, par les éditions du Diable Vauvert. Il sera traduit par Laura Derajinski.
(Merci à Marv pour les infos).
Michael McGill, un privé à la dérive, est embauché pour retrouver l'original de la Constitution des États-Unis : une version jusqu’alors tenue secrète et comportant des amendements écrits à l’encre alien invisible, qui ont le pouvoir d’insuffler au lecteur des idées proches de celles des puritains Pères fondateurs. Pour le gouvernement, il s’agit de remettre le pays sur le droit chemin d’une morale inflexible.
Mike se lance sur la piste du précieux document, dérobé dans les années 50 et depuis passé de main en main en échange de services louches entre gens mal intentionnés. Pour un demi-million de dollars, il accepte de mettre le pied dans ce que l’Amérique a de plus fou, de plus grotesque, de plus déviant et de plus hilarant.
Personnages incroyables, dialogues ciselés comme des joyaux d’humour noir : de rencontres en rebondissements, un livre guidé tambour battant par la logique du pire, à la joie du lecteur. Mais surtout une exploration d’une société qui, derrière les valeurs dont elle se réclame, est parcourue par le trash et la perversion. Et l’auteur, avec une sensible liberté transgressive, de renvoyer à l’Amérique l’image qu’elle aimerait donner. Un roman qui donne ses lettres de noblesse au terme « toxique ».
Un road book incisif d’un humour et d’une noirceur subversifs. Plongez dans la réalité crasse du pays des paradoxes !
Allez vite le pré-commander en cliquant sur l'image ci-dessous :
Frédéric Fontès
(Merci à Marv pour les infos).
Michael McGill, un privé à la dérive, est embauché pour retrouver l'original de la Constitution des États-Unis : une version jusqu’alors tenue secrète et comportant des amendements écrits à l’encre alien invisible, qui ont le pouvoir d’insuffler au lecteur des idées proches de celles des puritains Pères fondateurs. Pour le gouvernement, il s’agit de remettre le pays sur le droit chemin d’une morale inflexible.
Mike se lance sur la piste du précieux document, dérobé dans les années 50 et depuis passé de main en main en échange de services louches entre gens mal intentionnés. Pour un demi-million de dollars, il accepte de mettre le pied dans ce que l’Amérique a de plus fou, de plus grotesque, de plus déviant et de plus hilarant.
Personnages incroyables, dialogues ciselés comme des joyaux d’humour noir : de rencontres en rebondissements, un livre guidé tambour battant par la logique du pire, à la joie du lecteur. Mais surtout une exploration d’une société qui, derrière les valeurs dont elle se réclame, est parcourue par le trash et la perversion. Et l’auteur, avec une sensible liberté transgressive, de renvoyer à l’Amérique l’image qu’elle aimerait donner. Un roman qui donne ses lettres de noblesse au terme « toxique ».
Un road book incisif d’un humour et d’une noirceur subversifs. Plongez dans la réalité crasse du pays des paradoxes !
Allez vite le pré-commander en cliquant sur l'image ci-dessous :
Frédéric Fontès
Suite(s) Impériale(s) de Bret Easton Ellis
Le nouveau roman de Bret Easton Ellis, Suites Impériales, va paraitre le 16 septembre prochain, aux éditions Robert Laffont.
Vingt-cinq ans après la publication de Moins que zéro, l’histoire continue…
« Un pur roman noir hollywoodien… une affaire de prostitution et de crimes digne des meilleurs polars de James M. Cain ou de Raymond Chandler… et des meilleurs films noirs des années 40, avec femme fatale à la clé. »Nelly Kaprièlan, Les Inrockuptibles.
C’est dans une Los Angeles évanescente, peuplée de fantômes et d’hallucinations, que Clay, le protagoniste de Moins que zéro, revient passer les vacances de Noël. Un quart de siècle s’est écoulé et la chirurgie esthétique a rendu la plupart de ses anciens amis méconnaissables. Le cinéma, qui l’emploie comme scénariste, paraît une copie de plus en plus délavée de la réalité et la réalité elle-même, un mauvais film dans lequel chaque personne rencontrée compte sur lui pour obtenir un rôle. Clay pense qu’une fille, une seule, Rain Turner, a peut-être ses chances.
Au milieu d’une nuit de cauchemar, deux mots apparaissent sur le miroir d’une salle de bain : « Disparaître ici. » Vingt-cinq ans plus tôt, ces mêmes mots se déployaient sur un panneau publicitaire de Sunset Boulevard.
Un matin, des étudiants découvrent près d’une poubelle ce qu’ils imaginent être un drapeau américain trempé de sang. C’est en fait un cadavre.
À la fin d’un week-end de drogues et d’orgie à Palm Springs, une fille, sans doute la doublure de Rain, contemple une montagne au-delà de la plaine désertique et murmure : « C’est le lieu du passage. » Elle ajoute en pointant le doigt : « C’est ici que vit le diable. »
Les Inrocks l'ont lu pour vous : ICI ! Pour précommander le livre, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
Vingt-cinq ans après la publication de Moins que zéro, l’histoire continue…
« Un pur roman noir hollywoodien… une affaire de prostitution et de crimes digne des meilleurs polars de James M. Cain ou de Raymond Chandler… et des meilleurs films noirs des années 40, avec femme fatale à la clé. »Nelly Kaprièlan, Les Inrockuptibles.
C’est dans une Los Angeles évanescente, peuplée de fantômes et d’hallucinations, que Clay, le protagoniste de Moins que zéro, revient passer les vacances de Noël. Un quart de siècle s’est écoulé et la chirurgie esthétique a rendu la plupart de ses anciens amis méconnaissables. Le cinéma, qui l’emploie comme scénariste, paraît une copie de plus en plus délavée de la réalité et la réalité elle-même, un mauvais film dans lequel chaque personne rencontrée compte sur lui pour obtenir un rôle. Clay pense qu’une fille, une seule, Rain Turner, a peut-être ses chances.
Au milieu d’une nuit de cauchemar, deux mots apparaissent sur le miroir d’une salle de bain : « Disparaître ici. » Vingt-cinq ans plus tôt, ces mêmes mots se déployaient sur un panneau publicitaire de Sunset Boulevard.
Un matin, des étudiants découvrent près d’une poubelle ce qu’ils imaginent être un drapeau américain trempé de sang. C’est en fait un cadavre.
À la fin d’un week-end de drogues et d’orgie à Palm Springs, une fille, sans doute la doublure de Rain, contemple une montagne au-delà de la plaine désertique et murmure : « C’est le lieu du passage. » Elle ajoute en pointant le doigt : « C’est ici que vit le diable. »
Les Inrocks l'ont lu pour vous : ICI ! Pour précommander le livre, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
Pour la Place du Mort de Charlie Huston
Les fans de Charlie Huston seront ravis de pouvoir se ruer sur son nouveau roman, à paraitre le 02 septembre.
Ils sont quatre gamins de 13 à 17 ans, qui passent leur temps avec leurs vélos – ils les montent, les démontent, partent en virée… George est le plus âgé, le leader, et à du mal à supporter son « petit génie » de frère, Andy, le plus jeune de la bande, passionné de maths et de jeux de rôles. Hector est le seul Mexicain de ce quartier « white trash » (les Blancs les plus pauvres), il a une crête sur la tête, écoute Iron Maiden et arbore des épingles à nourrice dans les oreilles. Paul est le plus énervé – il part au quart de tour, parfois il fait peur, surtout aux filles. On est dans une banlieue d’Oakland, dans la baie de San Francisco, quelque part dans les années 1980. Pas de quoi fouetter un chat…Il suffit parfois d’un moment de distraction, pourtant, pour que tout parte en vrille. Le petit Andy se fait voler son vélo par un des membres du gang des Arroyo, l’effrayante fratrie mexicaine qui travaille pour les Hell’s Angels de l’autre côté de la colline. Les quatre gamins, excédés, décident de récupérer le vélo volé, font une descente chez les Arroyo, et tombent sur un atelier de cristal (méthamphétamine) clandestin. Piquent un sachet au passage. Ils sont moins innocents qu’ils n’en ont l’air, ces gamins – l’un d’eux utilise une chaîne de vélo autour de la main comme arme à poing, ils fument un peu trop d’herbe, ils ont des pensées d’une violence dérangeante – mais ce n’est rien à côté des frères Arroyo, sans parler de leur patron, l’infâme et obèse et cinglé de Geezer. La tension monte, la violence devient palpable, puis insoutenable, et le passé refait surface, donnant à deviner que les ados ont hérité, pour certains, d’un lourd bagage familial…
Pour le pré-commander, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
Ils sont quatre gamins de 13 à 17 ans, qui passent leur temps avec leurs vélos – ils les montent, les démontent, partent en virée… George est le plus âgé, le leader, et à du mal à supporter son « petit génie » de frère, Andy, le plus jeune de la bande, passionné de maths et de jeux de rôles. Hector est le seul Mexicain de ce quartier « white trash » (les Blancs les plus pauvres), il a une crête sur la tête, écoute Iron Maiden et arbore des épingles à nourrice dans les oreilles. Paul est le plus énervé – il part au quart de tour, parfois il fait peur, surtout aux filles. On est dans une banlieue d’Oakland, dans la baie de San Francisco, quelque part dans les années 1980. Pas de quoi fouetter un chat…Il suffit parfois d’un moment de distraction, pourtant, pour que tout parte en vrille. Le petit Andy se fait voler son vélo par un des membres du gang des Arroyo, l’effrayante fratrie mexicaine qui travaille pour les Hell’s Angels de l’autre côté de la colline. Les quatre gamins, excédés, décident de récupérer le vélo volé, font une descente chez les Arroyo, et tombent sur un atelier de cristal (méthamphétamine) clandestin. Piquent un sachet au passage. Ils sont moins innocents qu’ils n’en ont l’air, ces gamins – l’un d’eux utilise une chaîne de vélo autour de la main comme arme à poing, ils fument un peu trop d’herbe, ils ont des pensées d’une violence dérangeante – mais ce n’est rien à côté des frères Arroyo, sans parler de leur patron, l’infâme et obèse et cinglé de Geezer. La tension monte, la violence devient palpable, puis insoutenable, et le passé refait surface, donnant à deviner que les ados ont hérité, pour certains, d’un lourd bagage familial…
Pour le pré-commander, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
Habillé pour Tuer de Jonathan Kellerman
Le nouveau roman de Jonathan Kellerman sera disponible le 02 septembre prochain aux éditions du Seuil.
Une jeune femme pompette tombée en panne sur une autoroute déserte disparaît dans la nuit noire. Une enseignante à la retraite est poignardée à mort en plein jour. Deux femmes sont massacrées après la fermeture d’un salon de beauté. Seuls points communs dans ces meurtres hétéroclites : des voitures de luxe noires, et le fait que les crimes ne semblent pas avoir le moindre mobile. Alex Delaware et Milo Sturgis en sont pour leurs frais… Partis d’une petite tache de sang retrouvée sur le siège d’une Bentley volée, le lieutenant du LAPD et son ami le psychologue Delaware déroulent les fils d’un scénario complexe qui les conduit des quartiers huppés de Los Angeles aux bas-fonds des banlieues, sur les traces d’un assassin aux multiples visages, manifestement amateur de déguisements en tous genres. Un meurtrier insaisissable, qui laisse derrière lui la mort et des témoins hébétés…
Pour le pré-commander, cliquez-ci dessous :
Frédéric Fontès
Une jeune femme pompette tombée en panne sur une autoroute déserte disparaît dans la nuit noire. Une enseignante à la retraite est poignardée à mort en plein jour. Deux femmes sont massacrées après la fermeture d’un salon de beauté. Seuls points communs dans ces meurtres hétéroclites : des voitures de luxe noires, et le fait que les crimes ne semblent pas avoir le moindre mobile. Alex Delaware et Milo Sturgis en sont pour leurs frais… Partis d’une petite tache de sang retrouvée sur le siège d’une Bentley volée, le lieutenant du LAPD et son ami le psychologue Delaware déroulent les fils d’un scénario complexe qui les conduit des quartiers huppés de Los Angeles aux bas-fonds des banlieues, sur les traces d’un assassin aux multiples visages, manifestement amateur de déguisements en tous genres. Un meurtrier insaisissable, qui laisse derrière lui la mort et des témoins hébétés…
Pour le pré-commander, cliquez-ci dessous :
Frédéric Fontès
L'Homme Inquiet de Henning Mankell
L'Homme Inquiet, la dernière enquête de l'Inspecteur Wallander, sera disponible le 21 octobre prochain, aux éditions du Seuil.
Grand-père d’une petite Klara, Wallander a réalisé ses rêves : vivre à la campagne avec son chien.
Après avoir évoqué avec le commissaire la guerre froide et une affaire de sous-marins russes dans les eaux territoriales suédoises, le beau-père de sa fille Linda, ancien officier de marine, disparaît, puis c’est le tour de la belle-mère. Soupçons d’espionnage. Au profit de la Russie ? Des États-Unis ? Parallèlement à la police de Stockholm et aux services secrets, Wallander mène sa dernière enquête. C’est alors qu’il amorce sa propre plongée en profondeur : les années écoulées et les femmes de sa vie défilent. Et la petite Klara devient son ultime balise.
Au-delà de l’intrigue, la force et la beauté du roman résident dans le portrait riche et bouleversant de celui qui se dévoile ici sous la plume de son créateur, Henning Mankell.
Né en 1948, Henning Mankell partage sa vie entre la Suède et le Mozambique. Célèbre pour ses policiers, il est aussi l'auteur de pièces de théâtre, d’ouvrages pour la jeunesse et de romans. Dernier titre paru : Les Chaussures italiennes (Seuil, 2009).
Pour pré-commander le titre, cliquez ci-dessous :
Frédéric Fontès
Le Prédateur de C.J. Box
Le huitième roman de la série consacrée à Joe Pickett, le Prédateur, sera disponible le 07 octobre prochain aux éditions du Seuil.
Pour le pré-commander, cliquez sur l'image ci-dessous :
Frédéric Fontès
Pour le pré-commander, cliquez sur l'image ci-dessous :
Frédéric Fontès
dimanche 4 juillet 2010
Donne-moi tes yeux, la chronique
Torsten Pettersson nous conte une enquête de police bien ennuyeuse, malgré différents changements de narrateurs qui permettent de passer d'un récit à l'autre, récits en rapport avec l'intrigue. Le principe du point de vue écrit par un personnage est une idée que Bram Stoker avait sublimée avec son célèbre Dracula.
Mais on finit par s'embrouiller, s'ennuyer.
Le point de vue des enquêteurs étant particulièrement inintéressant, on se rabat sur les autres. C'est rafraichissant d'avoir des enquêteurs qui ne parviennent pas, au début d'un roman, à faire toutes les "connexions" malgré les indices qu'ils ont sous les yeux. Cela change du personnage omnipotent, et omniscient, qui devine tout en un rien de temps. Alexis Aubenque, avec sa série River Falls, présente lui aussi un personnage qui fait en cours de son enquête des suppositions qui ne sont pas les bonnes pour finalement retomber sur ses pattes. Mais, comme dans le roman de Torsten Pettersson, quand cela n'arrive pas pendant la durée de l'enquête, on est sur le point de les donner nos yeux, tant on les écarquille d'étonnement en constatant à quel point le récit est flou...
Du lyrisme c'est bien mais quand on en arrive à un récit bavard et parfois soporifique, on est loin du prodigieux roman de manipulation promis sur la quatrième de couverture.
Et comble de la frustration : je n'ai rien compris à la conclusion du livre ... Des choses sont scellées, pour être retrouvées, une photo est évoquée mais impossible de se rappeler à quel passage du roman elle fait référence ... On en arrive donc à faire une connexion avec un des récits les plus intéressants du livre sans en connaitre la nature exacte. Un roman frustrant donc avec une mécanique de l'endormissement qui risque d'en gagner plus d'un. Une histoire qui aurait certainement méritée d'être mieux éditée par la maison d'édition d'origine.
Mais du coup, saurez-vous relever le challenge de Torsten Pettersson en devinant la clef de sa conclusion ? Donnez-moi vos yeux, que je puisse à mon tour la trouver ...
Frédéric Fontès
Mais on finit par s'embrouiller, s'ennuyer.
Le point de vue des enquêteurs étant particulièrement inintéressant, on se rabat sur les autres. C'est rafraichissant d'avoir des enquêteurs qui ne parviennent pas, au début d'un roman, à faire toutes les "connexions" malgré les indices qu'ils ont sous les yeux. Cela change du personnage omnipotent, et omniscient, qui devine tout en un rien de temps. Alexis Aubenque, avec sa série River Falls, présente lui aussi un personnage qui fait en cours de son enquête des suppositions qui ne sont pas les bonnes pour finalement retomber sur ses pattes. Mais, comme dans le roman de Torsten Pettersson, quand cela n'arrive pas pendant la durée de l'enquête, on est sur le point de les donner nos yeux, tant on les écarquille d'étonnement en constatant à quel point le récit est flou...
Du lyrisme c'est bien mais quand on en arrive à un récit bavard et parfois soporifique, on est loin du prodigieux roman de manipulation promis sur la quatrième de couverture.
Et comble de la frustration : je n'ai rien compris à la conclusion du livre ... Des choses sont scellées, pour être retrouvées, une photo est évoquée mais impossible de se rappeler à quel passage du roman elle fait référence ... On en arrive donc à faire une connexion avec un des récits les plus intéressants du livre sans en connaitre la nature exacte. Un roman frustrant donc avec une mécanique de l'endormissement qui risque d'en gagner plus d'un. Une histoire qui aurait certainement méritée d'être mieux éditée par la maison d'édition d'origine.
Mais du coup, saurez-vous relever le challenge de Torsten Pettersson en devinant la clef de sa conclusion ? Donnez-moi vos yeux, que je puisse à mon tour la trouver ...
Frédéric Fontès
samedi 3 juillet 2010
Entremonde de Hiromi Goto
Nouvelle traduction de Marie de Prémonville, pour les éditions Baam!, qui vient de paraitre.
Présentation de l'éditeur
Mélanie est une adolescente très différente de ses camarades de classe. Délaissée et esseulée, elle ne peut compter que sur elle-même et sur sa pauvre mère, Fumiko, dépressive et énigmatique. Mais la vie de Mélanie est sur le point de basculer. De retour du collège, elle trouve la maison vide et reçoit un appel de l'ignoble M. Gluant : il détient Fumiko et piège Mélanie dans un sinistre chantage. Pour retrouver sa mère, la jeune fille devra affronter les créatures de l'Entremonde, mais aussi ses propres peurs. Ce qu'elle ne sait pas encore, c'est que l'avenir de plusieurs mondes est désormais entre ses mains...Frédéric Fontès
Un Fleuve de Ténèbres de Rennie Airth
Quand j'évoque avec un ami la sortie imminente du nouveau roman de Maxime Chattam, le Maitre du temps, et que l'on me dit que ce roman, un Fleuve de Ténèbres, est un des livres de références de l'auteur, je n'ai qu'une seule envie : me ruer dessus. Je ne connais pas ce roman de Rennie Airth mais je peux déjà vous dire qu'un exemplaire est déjà en mouvement vers moi, au moment où j'écris ce message ...
Présentation de l'éditeur
Dans ce livre exceptionnel, qui nous fait également assister à l'introduction de la psychologie appliquée dans les enquêtes criminelles, Rennie Airth a su marier, avec audace et bonheur, les décors, le cadre et l'atmosphère des romans policiers classiques de la grande époque avec l'impitoyable réalisme des thrillers modernes les plus noirs. C'est Le Silence des agneaux dans le monde d'Agatha Christie...
Frédéric Fontès
Présentation de l'éditeur
En 1921 dans un manoir du Surrey, au cœur de la campagne anglaise, le colonel Fletcher, sa femme Lucy et deux domestiques sont sauvagement poignardés. La police locale soupçonne un cambriologe qui aurait mal tourné, mais l'inspecteur Madden, envoyé de Scotland Yard, envisage les choses différemment. Ce crime, il en est sûr, est l'œuvre d'un psychopathe, qui en voulait principalement à Lucy, et qui pourrait bien encore frapper.
Quatrième de couverture
Nous sommes en 1921, et le jeune Billy Styles va voir ses débuts dans la police marqués par une horrible expérience. Dans un manoir de la paisible et riante campagne du Surrey, on vient de découvrir les corps ensanglantés du colonel Fletcher, de sa femme Lucy et de deux de leurs domestiques, sauvagement poignardés. Pour les policiers du Surrey, ces meurtres résultent tout simplement d'une tentative de cambriolage tragiquement avortée, mais, appelé de Scotland Yard en renfort, l'inspecteur John Madden voit les choses différemment : ce crime, il en est sûr, est l'œuvre d'un psychopathe qui happera de nouveau. Sans tarder.Dans ce livre exceptionnel, qui nous fait également assister à l'introduction de la psychologie appliquée dans les enquêtes criminelles, Rennie Airth a su marier, avec audace et bonheur, les décors, le cadre et l'atmosphère des romans policiers classiques de la grande époque avec l'impitoyable réalisme des thrillers modernes les plus noirs. C'est Le Silence des agneaux dans le monde d'Agatha Christie...
Frédéric Fontès
Le Rire du Cyclope de Bernard Werber
Le Rire du Cyclope, le nouveau roman de Bernard Werber, sera, comme chaque année, disponible le 01 octobre prochain, aux éditions Albin Michel.
Maj du 04 juillet : Il s'agit du troisième opus de la série consacrée à Isidore Katzenberg et Lucrèce Nemrod.
Série qui avait débuté avec Le Père de nos Pères et sa suite, l'Ultime Secret.
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du tout Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à L’Olympia.
Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire…Journaliste au Guetteur moderne, Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, entouré de dauphins, est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête…Un roman werbérien à la fois malin et savant, où l’on retrouve deux de ses héros favoris : Isidore Katzenberg et Lucrèce Nemrod.
Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
Pour le pré-commander, cliquez sur le lien :
Frédéric Fontès
Maj du 04 juillet : Il s'agit du troisième opus de la série consacrée à Isidore Katzenberg et Lucrèce Nemrod.
Série qui avait débuté avec Le Père de nos Pères et sa suite, l'Ultime Secret.
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du tout Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à L’Olympia.
Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire…Journaliste au Guetteur moderne, Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, entouré de dauphins, est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête…Un roman werbérien à la fois malin et savant, où l’on retrouve deux de ses héros favoris : Isidore Katzenberg et Lucrèce Nemrod.
Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
Pour le pré-commander, cliquez sur le lien :
Frédéric Fontès
Leviatemps de Maxime Chattam
Le nouveau thriller de Maxime Chattam, Leviatemps (Le Maitre du temps), va paraitre le 01er octobre prochain, aux éditions Albin Michel.
[Edit : il semblerait que le titre qui a été annoncé par Amazon ainsi que le résumé ne soient pas définitifs. En attendant d'avoir les éléments validés par l'auteur, j'édite mon message.]
Pour le pré-commander, cliquez sur le lien :
Frédéric Fontès
[Edit : il semblerait que le titre qui a été annoncé par Amazon ainsi que le résumé ne soient pas définitifs. En attendant d'avoir les éléments validés par l'auteur, j'édite mon message.]
Pour le pré-commander, cliquez sur le lien :
Frédéric Fontès
L'Ennemi Intime d' Ava McCarthy
Henrietta, dite Harry, Martinez, experte en piratage informatique, a toujours aimé le risque. Mais ses frissons virtuels ne deviennent que trop réels quand un inconnu l’agresse brutalement en mentionnant l’opération Sorohan. Ce nom a une résonance terrible : il s’agit d’une allusion au scandale financier qui a conduit son père en prison six ans plus tôt...
À paraitre en septembre prochain aux éditions des Presses de la Cité.
Ava McCarthy parle de son roman (en anglais) :
Frédéric Fontès
À paraitre en septembre prochain aux éditions des Presses de la Cité.
Ava McCarthy parle de son roman (en anglais) :
Frédéric Fontès
Un Noël à River Falls d' Alexis Aubenque
Après 7 Jours à River Falls et Un Automne à River Falls, Un Noël à River Falls, le troisième thriller d'Alexis Aubenque sera disponible en octobre prochain aux éditions Calmann-Lévy.
La troisième aventure du shérif Mike Logan et de la profileuse Jessica Hurley. Alors que la petite ville de River Falls, enfin apaisée, s’apprête à célébrer Noël, un tueur ravive le souvenir des horreurs du passé : un adolescent est retrouvé mort, un autre a réussi à lui échapper. Ont-ils été la cible d’un pervers sexuel ? S’agit-il d’une vengeance contre l’un des deux garçons, accusé de coups et blessures sur un travesti ? Quant au jeune survivant, il est issu d’une communauté religieuse venue s’installer dans les manoirs ayant appartenu à un meurtrier en série. Simple hasard, ou se peut-il qu’il y ait rapport avec son rapt ? Le shérif Mike Logan devra redoubler de vigilance pour essayer d’y voir plus clair. Heureusement pour lui, sa compagne, la profileuse Jessica Hurley, saura l’aider à éviter les pièges des idées préconçues sur les «monstres» qui nous entourent. La vérité est bien plus facile à trouver sans l'ombre des préjugés...
Pour pré-commander le livre, cliquez ci-contre :
Frédéric Fontès
La troisième aventure du shérif Mike Logan et de la profileuse Jessica Hurley. Alors que la petite ville de River Falls, enfin apaisée, s’apprête à célébrer Noël, un tueur ravive le souvenir des horreurs du passé : un adolescent est retrouvé mort, un autre a réussi à lui échapper. Ont-ils été la cible d’un pervers sexuel ? S’agit-il d’une vengeance contre l’un des deux garçons, accusé de coups et blessures sur un travesti ? Quant au jeune survivant, il est issu d’une communauté religieuse venue s’installer dans les manoirs ayant appartenu à un meurtrier en série. Simple hasard, ou se peut-il qu’il y ait rapport avec son rapt ? Le shérif Mike Logan devra redoubler de vigilance pour essayer d’y voir plus clair. Heureusement pour lui, sa compagne, la profileuse Jessica Hurley, saura l’aider à éviter les pièges des idées préconçues sur les «monstres» qui nous entourent. La vérité est bien plus facile à trouver sans l'ombre des préjugés...
Pour pré-commander le livre, cliquez ci-contre :
Frédéric Fontès
La Tour noire de Louis Bayard
Le prochain roman de Louis Bayard sera publié le 14 octobre prochain aux éditions Le cherche midi. Après L'Oeil bleu pâle, les lecteurs français seront ravis de pouvoir se ruer sur le nouveau thriller historique du romancier. Il est traduit par Jean-Luc Piningre.
Un splendide thriller historique dans la lignée de L’Aliéniste
Paris, 1818. Les expériences révolutionnaires et napoléoniennes ont vécu. Dans un pays en pleine confusion politique, les Bourbons, en la personne de Louis XVIII, sont de retour sur le trône. C’est dans ce contexte politique et social trouble qu’Hector Carpentier, un jeune étudiant en médecine, est soupçonné du meurtre d’un inconnu. Mais le directeur de la Sûreté nationale, François Eugène Vidocq, doute de la culpabilité d’Hector.
Personnage mystérieux, féru d’investigations scientifiques et d’espionnage, Vidocq doit mettre tous ses talents en œuvre lorsqu’il comprend que l’affaire est liée à la disparition du Dauphin, Louis XVII, officiellement mort en 1795 à l’âge de dix ans à la prison du Temple, construite cinq siècles plus tôt par les Templiers. Alors qu’un tueur mystérieux continue à sévir dans les rues de Paris, commence pour Vidocq, secondé d’Hector, une enquête passionnante.
Avec une intrigue mêlant politique, histoire et conspiration, et une reconstitution magistrale du Paris de l’époque, Louis Bayard nous offre, après Un œil bleu pâle, un thriller historique de tout premier ordre, aux rebondissements incessants, à la tension et au suspense d’une rare intensité.
Frédéric Fontès
Paris, 1818. Les expériences révolutionnaires et napoléoniennes ont vécu. Dans un pays en pleine confusion politique, les Bourbons, en la personne de Louis XVIII, sont de retour sur le trône. C’est dans ce contexte politique et social trouble qu’Hector Carpentier, un jeune étudiant en médecine, est soupçonné du meurtre d’un inconnu. Mais le directeur de la Sûreté nationale, François Eugène Vidocq, doute de la culpabilité d’Hector.
Personnage mystérieux, féru d’investigations scientifiques et d’espionnage, Vidocq doit mettre tous ses talents en œuvre lorsqu’il comprend que l’affaire est liée à la disparition du Dauphin, Louis XVII, officiellement mort en 1795 à l’âge de dix ans à la prison du Temple, construite cinq siècles plus tôt par les Templiers. Alors qu’un tueur mystérieux continue à sévir dans les rues de Paris, commence pour Vidocq, secondé d’Hector, une enquête passionnante.
Avec une intrigue mêlant politique, histoire et conspiration, et une reconstitution magistrale du Paris de l’époque, Louis Bayard nous offre, après Un œil bleu pâle, un thriller historique de tout premier ordre, aux rebondissements incessants, à la tension et au suspense d’une rare intensité.
Frédéric Fontès
jeudi 1 juillet 2010
La vie meurtrière de Félix Vallotton
Une de mes prochaines lectures ...
Frédéric Fontès
Présentation de l'éditeur
Si les toiles du célèbre Félix Valloton (1865-1925) frappent par leurs couleurs profondes, son roman La vie meurtrière, rédigé entre 1907 et 1908 et publié de manière posthume en 1927, est imprégné d'une inquiétante noirceur. Jacques Verdier, artiste de vingt-huit ans, s'est suicidé à son domicile. Il a laissé à l'attention du commissaire qui constatera les faits une courte lettre et un pli. Dans ce pli, un manuscrit au titre intrigant, Un amour, déroule de façon implacable le récit d'une vie funeste... Bien malgré lui, le défunt semble avoir provoqué depuis sa plus tendre enfance d'épouvantables accidents mortels. Crises cardiaques, chutes, empoissonnements, brûlures se sont multipliés autour de lui jusqu'à ce que la question lancinante de sa propre responsabilité l'accule à envisager une solution radicale. Jacques portait-il en lui, comme il le croyait un " fatal pouvoir ", un " principe de mort " ?Frédéric Fontès
Inscription à :
Articles (Atom)