On vient vivement de me conseiller la lecture des romans de William Bayer. Et j'adore quand on met de l'enthousiasme quand on me conseille un livre. Donc, je vais certainement m'y mettre très prochainement. Je vais jeter mon dévolu sur ces deux romans :
Pam Barret est journaliste à la télévision. Mais on ne peut pas dire que sa carrière décolle. Jusqu'au jour où elle assiste à une scène proprement stupéfiante : en plein New York, une jeune patineuse est assommée et égorgée par un oiseau géant qui disparaît aussi vite qu'il est venu. Panique, stupeur, les témoins croient avoir rêvé, mais des touristes ont filmé l'attaque. Pam comprend qu'elle a une chance de faire la " une " en rapportant ces images insensées. Un ornithologue lui confirme bientôt que le " meurtrier " est un faucon pèlerin femelle, mais un spécimen anormalement grand, et jamais ce type d'oiseau ne fondrait sans raison sur un humain, encore moins pour le tuer. De plus, comment cet animal s'est-il perdu dans Manhattan ? Peut-être n'est-il pas perdu justement, et dans ce cas, l'affaire n'est plus du ressort des ornithologues mais de la police. Palpitant, envoûtant, ce thriller nous plonge dans le monde mystérieux de la fauconnerie. Une fois encore, Bayer fait preuve d'une maîtrise éblouissante. Paru à la série noire dans une version tronquée, ce livre a été intégralement retraduit.
Kay Farrow avait rencontré Kim dans tes milieux underground de San Francisco, où il se prostituait et où elle aimait promener son objectif. Elle, dont l'univers se conjugue en noir et blanc, avait été fascinée,.par le regard lumineux du jeune homme. Sa beauté l'avait séduite.. Elle était devenue son amie. Kim est mort, assassiné. Curieusement, l'enquête est classée par la police, mais Kay ne lâche pas prise. Louvoyant entre les souteneurs, les michetons et autres riches clients en mal de sensations fortes, elle multipliera les risques pour découvrir l'effrayante vérité et démêler l'écheveau d'un passé tissé des plus sombres passions humaines.
En ce qui concerne ce second roman que je cite, on m'en avait déjà parlé sur www.superpouvoir.com quand j'avais lancé un sujet sur Carter contre le Diable. Le trède avait été l'occasion de lister quelques thrillers ayant pour cadre la magie et la prestidigitation. On y avait donc évoqué le Prestige de Christopher Priest, Nevermore de William Hjortsberg, et l'Homme qui Disparait de Jeffery Deaver.
Frédéric Fontès
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